[i]
Epigraphe
« Internet accélère l'avènement de lasociété de marché, avec une poussée violente deconcurrence et de compétition ».
Alain Minc
[ii]
DEDICACE
À mes très chers parents Marc ONJI et HozemeMONKANGO pour les efforts, l'abnégation et les sacrifices endurcis afind'accomplir pleinement le noble devoir de mon éducation etépanouissem*nt social.
A mes frères et soeurs : Grace ONJI, Ange ABOMBELA,Monsengo NSALE et Theddy MWANZA pour d'énormes sacrifices consentisdurant tout le parcours d'études supérieures.
ONJI KITOKO Aristote
[iii]
REMERCIEMENT
Nous sommes éblouies de joie en ce jour où parle soutien et la grâce de Dieu nous mettons un terme à notrepremier cycle d'études supérieures effectuer avec bravoureà l'institut supérieure de commerce de Bandundu.
Nous exprimons notre profonde gratitude àl'égard de l'Assistant MALALA ATANDELE Tychique, qui nonobstant sesmultiples occupations n'a pas hésité d'assurer la direction de cetravail. Ses riches conseils, sa disponibilité, ses remarques etcritiques constructifs nous ont été d'une grande utilité.Qu'il veuille bien accepter nos vifs et sincères remerciements.
Nous ne pouvons pas quitter cette page sans remercier lesChefs de Travaux MISSWAY KINDIA Josué, BIMA Glody, DIMBU Papy, OLEKOKENEMO Paul, MALELA GABRIEL Vainqueur, TANGAMU Junior et LUKULANGA Berith maiségalement les assistants, ATA NDANDULA, MWANDEKE Ashal, pour leursparticipations à la réussite de ce travail.
Qu'il nous soit permis de remercier le Professeur ABE PANGULUMacaire et tous les autres membres du corps académique.
Nous sommes très reconnaissants envers tous nosenseignants de l'ISC/Bandundu et plus particulièrement ceux de lasection informatique, car nous leur devons nos connaissances scientifiques.Qu'ils trouvent ici le résultat d'un travail bien accompli.
Notre considération va également au Rév.Fidèle LEZEME, Ir KIESE, Géorge NZANA, Berlin MONTONGA, FelicienMONTONGA, AYINZA Yves, Diesel BALIZENI, Juvenal MBO SILIME, Belanga BAKINDO,MBO ETIKO glorieux et à toutes les personnes qui d'une manière oud'une autre, de près ou de loin ont apporté leur savoir-fairepour la réalisation de la présente oeuvre.
[iv]
LISTE DE FIGURE
Figure 1 Schema d'organisation du système dans uneentreprise. 7
Figure 2 Architecture à deux tiers 11
Figure 3 Architecture à trois tiers 11
Figure 4 Architecture n tiers. 12
Figure 5 Organigramme général 16
Figure 6 L'organigramme du service de publication derésultats Erreur !
Signet non défini.
Figure 7 Fiche de cotation Erreur ! Signet nondéfini.
Figure 8 Palmarès de classe Erreur ! Signet nondéfini.
Figure 9 Palmarès de l'école Erreur !Signet non défini.
Figure 10 Billet de vacance Erreur ! Signet nondéfini.
Figure 11 Bulletin Erreur ! Signet nondéfini.
Figure 12 Formalisme Erreur ! Signet nondéfini.
Figure 13 Elaboration du diagramme de Flux Erreur !Signet non défini.
Figure 14 Formalisme étape conceptuelle de donnéeErreur ! Signet non
défini.
Figure 15 Présentation du MCD Erreur ! Signet nondéfini.
Figure 16 Présentation modele conceptuel detraitement. Erreur ! Signet
non défini.
Figure 17 Présentation MOD GLOBAL. Erreur !Signet non défini.
Figure 18 Schema de securité desdonnées de la procedure fonctionnelle
Erreur ! Signet non défini.
Figure19 Présentation du modèle logique de données brut(MLDB)
Erreur ! Signet non défini.
Figure 20Présentation du modèle logique de données valide (MLDV)
Erreur ! Signet non défini.
Figure 21 (Ult 01) Page d'accueil Erreur ! Signet nondéfini.
Figure 22 (Ult 02) Communiqué Erreur ! Signet nondéfini.
Figure 23 (Ult 03) Publication Erreur ! Signet nondéfini.
Figure 24 (Ult 04) Admin Erreur ! Signet nondéfini.
Figure 25 presentation de MPD Erreur ! Signet nondéfini.
Figure 26 Presentation du mpt - 65 -
Figure 27 Page d'acceuil - 71 -
Figure 28 présentation page communiqué - 71 -
Figure 29 Présentation de publication - 71 -
Figure 30 Presentation de billet de vacance - 72 -
Figure 31 Presentation Billet de vacance imprimé - 72 -
[v]
LISTE DE TABLEAUX
Tableau 1 : Ressources Humaines | 26 |
Tableau 2 : Ressources Matérielles | 26 |
Tableau 3: Dictionnaire de données | 35 |
Tableau 4: Quantification des cardinalités multiples | 45 |
Tableau 5: Tableau des cardinalités et taux departicipation | 46 |
Tableau 6: Calcul du volume des objets | 46 |
Tableau 7: Présentation des procèduresfonctionnelles | 50 |
Tableau 8: Presentation des procedures fonctionnelles | 51 |
Tableau 9: Calcul du volume des tables | 59 |
Tableau 11: Ressources matérielles | - 66 - |
Tableau 12: Ressources Logicielles | - 66 - |
[vi]
SIGLES ET ABREVIATIONS
1. CSS : Cascading style sheet
2. D.E : Directeur des Etudes
3. HTML : HyperText Markup Langage
4. http : Hypertexte Transfert Protocole
5. LAN : Local Area Network
6. MCD : Méthode Conceptuelle de Données
7. MCT : Méthode Conceptuelle de Traitement
8. MERISE : Méthode d'Etude et RéalisationInformatique du Système d'entreprise ;
9. MLD : Modèle Logique de données
10. MLT : Modèle Logique de Traitement
11. MOD : Modèle Organisationnelle de Données
12. MOT : Modèle Organisationnelle de Traitement
13. MPD : Modèle Physique de données
14. MPT : Modèle Physique de Traitement
15. PHP : Hypertexte Preprocessor
16. S.I : Système d'Information
17. S.I.O : Système d'Information Organisationnel
18. S.O : Système Opérant
19. SP : Système de Pilotage
20. ULT : Unité Logique de Traitement
21. URL : Uniform Ressource Locator
22. WWW : World Wide Web
[- 1 -]
I. MISE EN CONTEXTE
Depuis plusieurs hégires, l'homme est passé dustatut de spectateur impuissant à celui d'acteur sur son environnement.Le génie humain a développé au cours des sièclesdes sciences et des technologies qui lui ont permis de survivre, de comprendreson environnement et d'accroître sans cesse son pouvoir d'action.D'où l'avènement de l'ordinateur, grâce auquel il estdésormais possible d'exécuter en un rien de temps, les lourdestâches qui, jadis furent difficiles si pas impossibles àréaliser.
Avec l'entrée en scène du concept ditentreprise, le recours à l'utilisation des ordinateurs devient unepratique à moitié indispensable. Cela se justifie par le fait quedans une entreprise digne de ce nom, le problème d'optimisation est unchamp de bataille quotidien : il faut minimiser les coûts et accroitreles bénéfices ainsi que la productivité.
L'arrivée aujourd'hui de l'internet avec tous sesservices notamment le web, ouvre une nouvelle ère dans la communicationet le partages de ressources dans le monde entier qui devient en ce sens unvillage planétaire.
Dans plusieurs pays, les entreprises ont désormais unrecours à l'internet pour la bonne gestion de leurs activités etpour étendre leur reconnaissance au-delà de leursfrontières physiques. Les sites web ont gagné enfonctionnalités et sont par conséquent devenus des moyens decommunications quasiment incontournables.
C'est dans cette optique que le présent travail portesur la «Mise en place d'un système informatisé pourla gestion de publication de résultats en ligne au sein de l'institutKIKESA », afin de pousser cette institution vers sonémergence et vers un fonctionnement qui s'adapte au concept actuel de lamondialisation qui prône la délocalisation des services pourqu'elle atteigne réellement les différents objectifs qu'elles'assigne.
[- 2 -]
2. PROBLEMATIQUE
Il n'existe pas de recherche sans question fondamentale ousans problème que doit soulever le thème d'étude. Laproblématique désigne l'expression de la préoccupationmajeure et des questions posées de façon précise avecabsolue clarté autour de l'objet de l'étude que le chercheur sepropose de mener. (1)
La gigantesque exposition des applications web a faitémerger des réalités ; dans le cadre de notre travail, lesystème d'information utilisé par notre établissem*ntscolaire est manuel et ne répond pas aux normes de la vie actuelle.
En outre, nous avons pu déceler quelquesproblèmes repris ci-dessous lors de nos investigations au sein del'institut KIKESA qui handicapent le bon fonctionnent de sa gestion depublication de résultats des élèves :
? Encombrement du bureau face à unnombre important des élèves qui font la queue pour obtenir leursrésultats à chaque fin d'année scolaire ;
? Difficulté d'accéder auxrésultats après publication ;
? Difficulté d'archivage des grilles decôtes ;
? Difficulté de retrouver en un tempsopportun les côtes et les
résultats des élèves ayantétudié dans les années antérieures ; ?Un mode de publication des résultats qui nécessite uneprésence
physique et ne favorise pas les élèves absents;
Compte tenu de tous ces problèmes ci-hautépinglés, il nous est raisonnable de formuler quelquesinterrogatoires :
? Quelle solution proposée à l'institut KIKESA pourlui permettre de pallier aux insuffisances du système en place ?
? Quels sont les avantages que pourraient procurer cettesolution?
Ce sont là, les questions auxquelles nous tenteronsd'apporter la lumière dans les lignes qui suivent.
(1) CAMPENHOU, L., Manuel de recherche en sciencesocial, 2éme édition, Dunod, Paris 2005, P.12.
[- 3 -]
3. HYPOTHESE
Tout travail scientifique suppose une interprétationanticipée des faits à étudier. Ainsi donc, dans les lignesqui ont précédés, il a été question pournous de soulever non seulement les problèmes mais aussi avions-nousposé une question qui, à ce stade nécessite desréponses, bien sûr à titre provisoire. (2)
Vu l'importance du sujet choisi qui fait l'objet de notreétude, le champ d'érudition de nos recherches se camperait autourdes questions posées dans la problématique qui nécessitentbien évidemment plusieurs réponses provisoires.
Compte tenu de la problématique quiprécède, il est important pour nous de donner quelquesréponses provisoires en termes d'approche de solutions :
? Pour pallier aux insuffisances dusystème en place que rencontre l'institut KIKESA, dans la gestion depublication de résultats des élèves, nous pensons que lamise en oeuvre d'une application web serait d'une importance capitale pour unegestion efficace.
? Cette solution pourrait apporter les avantagessuivants :
? Faciliter la bonne gestion desdonnées en temps réel avec une sécurité accrue ;
? La rapidité dans l'exécution destaches,
? Donner l'opportunité auxélèves d'accéder à distance à tout moment;
? La sauvegarde des informations sur dessupports informatiques de grande capacité.
(2) LAUBET, B., Initiation aux méthodes derecherche en sciences sociales, éd.L'Harmattan, Paris, 2010, P.85.
Comme tout projet qui doit avoir une durée de vie,notre étude, s'étend de Mars 2022 en Octobre 2023 ;
[- 4 -]
4. CHOIX ET INTERET DU SUJET
A. CHOIX DU SUJET
Notre choix est porté sur la : Mise en placed'un système informatisé pour la gestion de publication derésultats en ligne au sein de l'institut KIKESA. Ce sujet n'estpas choisi d'une manière fantaisiste. Cependant, le choix de ce sujetest motivé par le souci d'améliorer le système en vigueur,qui éprouve d'énormes difficultés de traitement et decommunication des informations.
B. INTERET DU SUJET ? IntérêtProfessionnel
Ce travail donnera un nouvel élan à l'institutKIKESA, en informatisant ses données pour de pallier aux insuffisancesde méthode ancienne afin d'optimiser ce service avec un meilleur moyende publication de résultat en ligne.
? Intérêt personnel
Ce présent travail nous donne l'opportunité depratiquer toutes les notions apprises toute au long de notre cursus du premiercycle en informatique de gestion.
? Intérêt scientifique
Ce travail sera une source de recherche pour d'autreschercheurs qui consulteront pour entreprendre la recherche dans ce domaine.
5. DELIMITATION DU TRAVAIL
Etant donné que toute recherche scientifique doitrépondre aux critères de délimitation quoiqu'elle soitpertinente, précise et concise. Cette délimitation nous permet despécifier notre travail afin d'avoir une précision et uneclarté scientifique, de ne pas être dans unegénéralité des choses ; nous avons délimiténotre travail dans le temps et dans l'espace.
Dans l'espace, notre lieu d'investigation estl'institut KIKESA. L'étude ne se limite que dans leMise en place d'un système informatisé pour la gestion depublication de résultats en ligne au sein de l'institut kikesa.
[- 5 -]
6. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES
Chaque travail scientifique repose sur des méthodes ettechniques appropriées pour atteindre le but poursuivi.
6.1 METHODES
Une méthode désigne l'ensembled'opérations intellectuelles par les quelles une discipline chercheà étudier les vérités qu'elle poursuit, lesvérifier et les démontrer. (3)
Nous avons utilisé :
? La Méthode Merise : c'est uneméthode de conception, de développement et de réalisationde projets informatiques ; elle nous a guidé à l'analyse et autraitement des informations liées à notre travail.
? La Méthode Historique : cetteméthode nous a servi à étudier les époquesantérieures à l'institut KIKESA, à expliquer, analyser etinterpréter certains faits passés.
6.2 TECHNIQUES
La technique est un ensemble des procédés qu'ondoit méthodiquement employer pour un art, pour une recherche dans unmétier. (4) Voici quelques techniques que nous avonsutilisées dans ce travail :
a) Technique documentaire
Cette technique nous a facilité la récolte dedonnées, par la lecture des certains documents ayant trait avec notresujet de recherche.
b) Technique d'observation directe
Cette technique nous a permis d'observer lesréalités en rapport avec notre sujet et en effectuant la collectedes faits d'un phénomène dans leur déroulement natureldirectement, sans intermédiaire humain, en notant les résultatsde l'observation, sur le champ ou immédiatement après, sur desfichiers.
(3) DUVERGER M., Méthode des sciences sociales,Ed. P.U.F, paris, 1961, P. 15.
(4)www.larousse.fr consulté le15 Avril 2023 à 10h14.
[- 6 -]
c) Technique d'interview
Elle est une technique qui a pour but d'organiser un rapportde communication verbale entre deux personnes (l'enquêteur etl'enquêté) afin de permettre à l'enquêteur derecueillir certaines informations de l'enquête concernant un objetprécis (5).
L'interview nous a permis de poser certaines questions auxpersonnes concernées possédant les informations concernant notreétude, l'entretien et la prise de connaissance par l'échange dedialogue avec les utilisateurs du système étudie ontété aussi nécessaire.
7. DIFFICULTES RENCONTREES
Nous avons été victime de beaucoup d'obstacleslors de la récolte de données et lors de la recherche desdocuments : les rendez-vous non respectés, indisponibilité de nosinterlocuteurs. Malgré toutes ces difficultés nous avonsété déterminés à récolter lesdonnées pour rédiger le présent travail.
8. CANEVAS DU TRAVAIL
Hormis l'introduction générale et la conclusiongénérale, notre travail a 3 chapitres, à savoir:
? CHAPITRE PREMIER : APPROCHES THEORIQUES ;
? CHAPITRE DEUXIEME : CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEMED'INFORMATION ;
? CHAPITRE TROISIEME: REALISATION DU SYSTEME.
(5) Albert Bruno, Les méthodes de sciencessociales, Ed. Mont Chrétien, Paris, 1972, p.207.
(6) ROSNAY, J., Le système de gestioninformatique, éd. Eyrolles, Paris, 2003.
[7]
PREMIER CHAPITRE : APPROCHES THEORIQUES
Dans ce nouveau chapitre nous allons définir lesconcepts informatiques et autres qui sont liés à notre sujet,pour rendre plus facile la compréhension à nos lecteurs. Puisnous allons examiner l'état actuel du système afin dedéterminer si la mise en oeuvre d'un système informatisésera nécessaire. Alors pour ce faire, il est nécessaire decomprendre comment le système actuel fonctionne et d'évaluer sesperformances, ses avantages et ses inconvénients. L'objectif est dedéterminer si le système informatisé seraitbénéfique pour améliorer la qualité, larapidité, l'efficacité de la gestion du système envigueur.
SECTION I : DEBLAYAGE CONCEPTUEL I.1 APPROCHESD'INFORMATISATION
I.1.1 SYSTEME
Un système est un ensemble d'éléments eninteraction dynamique poursuivant un but commun. (6) Dans uneentreprise, le système est organisé en différentssystèmes appelés sous-systèmes. Que nous pouvonsénumérer :
? Le système de pilotage ;
? Le système d'information ;
? Le système opérant.
Ces sous-systèmes qui s'interagissent sontreprésentés de la manière suivante :
Figure 1 Schema d'organisation du système dans uneentreprise.
[8]
? Le système pilotage estconstitué de décideur (prise de décisionstratégique à court et moyen terme et donne l'ordre ausystème opérande).
? Le système opérant(exécutants) exécute des ordres venant du systèmede pilotage.
? Le système d'information est letrait d'union entre les deux sous-systèmes précédents. Ilpermet de traiter les informations. D'où le système d'informationest défini comme l'ensemble des informations circulant dansl'entreprise.
I.1.2 SYSTEME D'INFORMATION ET SYSTEME INFORMATIQUEI.I.2.1. Le Système d'information
Le système d'information dans une entreprise est unensemble des informations qui y circulent ainsi que des moyens mis en oeuvrepour les gérer. (7)
I.I.2.2. Le Système informatique
Le système informatique peut être définicomme : l'ensemble des méthodes, algorithmes, ressources humaines,matériels, logiciel (outil à grande échelle). Permettantl'automatisation de traitement des informations. (8)
1.1.3 BASE DE DONNEES
Une base de donnée est définit comme un grandfichier dans laquelle on retrouve de petit* fichiers ayant de liens entre euxrenfermant des informations non répétitives, exhaustives etpermettant à plusieurs utilisateurs d'y accédersimultanément. (9)
Une base de données doit répondre auxcritères suivants :
? L'exhaustivité :l'exhaustivité implique la présence dans la base dedonnées de tous les renseignements possibles ayant trait auxapplications et aux besoins des utilisateurs;
? La non-redondance : elle implique laprésence d'un renseignement donné une fois et une seule dans labase de données. C'est à dire : ce critère interditl'accès répétitif d'informations dans une base dedonnées.
? La structuration : c'est l'adaptation dumode de stockage des renseignements aux traitements qui les exploitent et lesmettrons à jour, ainsi qu'au coût de stockage dansl'ordinateur.
(7) GABRIEL P, Système d'information pour lemanagement, Ed. Willey, Paris 2012, P.17.
(8) Idem.
(9) DIMBU P. note de cours technique de base donnée, ISCBDD édition 2022-2023 P 4.
[9]
I.1.4 SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES
Un système de gestion de base de données est unlogiciel jouant le rôle d'interface entre l'utilisateur et la base dedonnées. (10) Il permet aux développeurs d'utiliserles différentes fonctionnalités de la base donnée (miseà jour, création, consultation, recherche etc.).
I.1.5. ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR
Une architecture réseau représentant un mode dedialogue
entre deux processus l'un client demandeur des services etl'autre serveur fournisseur des services après traitement.
I.I.5.1. Définitions
L'architecture client-serveur est un modèled'architecture applicative où les programmes qui sont repartis entreprocessus clients et serveurs communiquant par des requêtes avecréponses. (11).
Ainsi, le fait d'interroger le serveur par le client,constitue une requête et le service fournit au client par le serveurconstitue en retour une réponse.
I.I.5.2. Fonctionnement
L'architecture client/serveur fonctionne suivant cemécanisme :
? Le client émet une requêtevers le serveur grâce à son adresse IP qui désigne unservice particulier du serveur.
? Le serveur reçoit la demande etrépond à l'aide de l'adresse IP de la machine cliente et sonposte.
Il y'a trois acteurs principaux dans l'architecture qui sont : ?Client
Un client est un système (programme, ordinateur)demandant l'exécution d'une opération à un fournisseur desservices par l'envoie d'un message contenant le descriptif del'opération à exécuter et attendant la réponseà cette opération par un message en retour.
Nous distinguons trois types de client :
? Client léger : Est une applicationaccessible via une interface web consultable à l'aide d'un navigateurweb.
(10) DIMBU P. Op cit P3.
(11) GARDARIN O., et GARDARIN, G., Le client-serveur,édition Eyrolles, Paris, 1996, P.18
[10]
· Client lourd : Est une applicationcliente graphique exécuté sur le système d'exploitation del'utilisateur possédant les capacités de traitementsévoluées.
· Client Riche : Est l'assemblage duclient léger et le client lourd dans lequel l'interface graphique estdécrite avec une grammaire basée sur la syntaxe XML.
? Serveur
Un serveur est un service permettant de répondre auservice de l'utilisateur ou encore Un Serveur est un système (Programme,ordinateur de grande capacité) détendant des ressources qu'il metà la disposition des autres ordinateurs (clients) d'un réseau.
On distingue plusieurs types des serveurs notamment :
· Les serveurs d'applications : Sontdes serveurs dans le quels sont stockées les applications web ;
· Les serveurs des Bases dedonnées: Sont des serveurs dans laquelle sont stockéesles différentes informations dans un grand fichier qui est la base desdonnées
· Les Serveurs des Fichiers : Sont desserveurs dans lequel sont stockées les fichiers ;
· Serveurs messageries : Sont desserveurs dans lequel sont stockées les messages;
· Serveurs des domaines : c'est sontdes serveurs qui traduit les noms de domaine en adresse IP
? Middleware :
Le middleware est un ensemble des services logiciels quiassurent l'intermédiaire entre les applications et le transport desdonnées dans le réseau afin de permettre les échanges desrequêtes et des réponses entre client et serveur de manièretransparente. (12)
(12) BERTRAND P., Architecture desréseaux,Ed.Ellipses, Paris, 2020, P.17
[11]
I.I.5.3. Type d'architecture client/serveur
I.I.5.3.1. Architecture à deux tiers
Ce type d'environnement caractérise les systèmesclient/serveur où le poste client demande une ressource au serveur quila fournit à partir de ses propres ressources ; En claire, le client seconnecte directement au serveur pour demander les services. (13)
Figure 2 Architecture à deux tiers
I.I.5.3.2. Architecture à trois tiers
Avec l'avènement de l'internet et le web l'architectureclient-serveur à évoluer vers l'architecture client-serveurà 3 tiers.
? Le client (1er tiers) est leresponsable de la présentation, il utilise le navigateur web.
? Le serveur d'application(2ème tiers) exécute le code applicatif.
? Le serveur de donnée(3è tiers) supporte le SGBD il reçoit la requêteet fournie la réponse via le serveur d'application. (14)
Figure 3 Architecture à trois tiers
(13) MIRANDA S. et RUOLSA, Client-Serveur. Moteur SQL,Ed.Middleware, Paris, 2011, p.115.
(14) Idem.
[12]
I.I.5.3.3. Architecture à n-tiers
En effet dans la plupart des applications le niveauintermédiaire est une collection de composants qui sont utilisésdans de nombreux traitements transactionnels. Ces composants peuvent êtresitués sur un ou plusieurs serveurs physiques.
De plus chacun de ces composants effectue une petite tache etc'est pourquoi cette partie intermédiaire est séparée en nparties d'où le terme architecture n-tiers (15).
Figure 4 Architecture n tiers.
I.1.6. INTERNET
L'internet (International Network ou Interconnected Network)est un réseau informatique qui relie des ordinateurs du monde entierentre eux et qui leur permet d'échanger des informations. Il peut alorsêtre compris au sens de réseau des réseaux en ce sens qu'ilrelie des millions d'ordinateurs dans le monde et qui n'appartiennent pasforcément à un pays. Réseau mondial des réseauxinterconnectés par l'intermédiaire du protocole TCP/IP. Sesdébuts remontent en 1969, alors qu'il était au stade de projetexpérimental du ministère de la défense américain,nommé ARPANET (Avanced Reseach Projects Agency NETwork) pour ledépartement américain de la défense dans le but de partagedes informations et pour tenter de mettre en place de réseaux capablesde survivre à une destruction partielle (due, selon le contextegéopolitique de l'époque, à une attaquenucléaire).
(15) GARDARIN O. et GEORGES, «Client À Serveur », Edition Eyrolles, Paris 2010, P. 18.
[13]
Peu après, Vinton Cerf et Robert Kahndéveloppent les deux protocoles TCP (Transfer controlprotocole) et IP (Internet Protocol) dans le but de rendre les protocoles detransmission par paquets applicables à tous les types de systèmesinformatiques. Le travail de Kahn et Cerf constitue aujourd'hui la base detoutes les communications sur Internet. C'est ce qui fait de ces deux auteursles principaux fondateurs de l'internet. (16)
I.I.6.1. LES SERVICES DE L'INTERNET
I.I.6.1.1. LE WEB
Le Web est également l'abréviation courantede World Wide Web (www) autre appelé toiled'araignée mondiale.
Le web est un ensemble volumineux des serveurs ou un grandréservoir d'informations mise à la disposition des chercheurspour être exploité sur l'internet. Il peut aussi êtreconsidéré comme une application d'internet, d'autres applicationssont des courriers électroniques, la messagerie instantanée...
Il est parfois définie comme un systèmed'information multimédia utilisé sur l'internet et basésur la technologie de l'hypertexte, permettant de relier des serveurs etd'accéder aux bases des données. Le web étaitcréé par le professeur Tim Berners-leeen Mars 1989.
I.I.6.1.2. QUELQUES CONCEPTS RATTACHES AU WEB
 La Page web : Est un fichier ou undocument qui contient du texte, des images, des Vidéos et des liens ad'autres pages, en outre, une page web est un document servi via le protocolehttp.
 Le Site web : Est l'ensemble despages web relier entre elles grâce à des liens hypertextes.
 Le Protocole http : le http(Hypertexte Transfert Protocole) est un Protocol de communication entre unnavigateur (client) et un serveur connecté sur internet, permettant letransfert des pages web.
 Le Url (Uniform RessourceLocator) est l'adresse web qui permet d'indiquer les ressources d'unemachine. (17)
 Le Moteur de recherche : est unlogiciel qui permet de retrouver ou
localisé des ressources (page web, images,vidéos...) contenant l'information relative au mot clé de larequête de l'utilisateur. EX: Google, Bing, Yahoo, Baidu, DuckduckGo,Yandex...
(16) MALALA ATANDELE T., Note de cours de langage HTML et CSS,G2 INFO, ISC/BDD, 2021-2022, P.6.
(17) ídem.
[14]
 Le Navigateur (Browser en anglais)est un logiciel qui permet de visualiser les sites web. Le navigateur permetd'interprété les codes des pages web (HTML ou CSS) en find'afficher le résultat à l'écran. EX : Safari, GoogleChrome, Firefox...
I.1.7. Merise
La merise entre autre la méthode d'étude et deréalisation informatique de système d'entreprise, est uneméthode de conception, de développement et réalisation desprojets informatiques. Donc elle nous permettra de concevoir notresystème.
1.2. CONCEPTS LIES AU SUJET
 Mise en place : en informatique, lamise en place désigne l'ensemble des actions nécessaires pourrendre un logiciel utilisable sur un ordinateur.
 Publication : Action de rendrepublique, de publier une information, une opinion.(18)
 Résultat : ce qui est laconséquence d'un acte, d'un phénomène soit Réussiteou échec à un examen, un concours etc.
 Elève : Celui, celle quireçoit un enseignement dans un établissem*nt scolaire
18 www.larousse.fr consulté le29/04/2023 18 à 02h42
[15]
SECTION II : PRESENTATION DE L'INSTITUT KIKESA
II.1.SITUATION GEOGRAPHIQUE
L'institut KIKESA est situé au numéro 3 del'avenue de l'église, L'institut KIKESA est limité à l'Estpar l'avenue LUMUMBA et l'école Primaire BASOKO, à l'Ouest parlaSOBRABAND et la rivière KWILU À KWANGO, au nord par l'avenue del'Eglise et au Sud par l'ITP MOSALA, le couvent des FrèresJoséphites de Kinzambi et la SOBRABAND.
II.2. HISTORIQUE
Datant du temps colonial, institut KIKESA fut la toutepremière école du diocèse de Kenge. Il formait lesmoniteurs et instituteurs. Il a connu plusieurs appellations :
Ecole normale, institut saint jean baptiste de la salle,institut serenkuma, avant de fixer sur l'actuelle appellation durantl'année 1973 À 1974 De puis l'année scolaire 1966 À1967, la direction de l'institut KIKESA a été confiéeà la congrégation des frères Joséphites deKinzambi.
A la section pédagogique s'est ajoutée lasection scientifique (math À physique) par l'arrêtéministériel de 1975. Sur demande des parents, une nouvelle section aété ajoutée en 2001À2002 : la section techniquecommerciale et administrative.
A ce jour, l'institut a mis sur le marché de l'emploitant national que provinciale de nombreux diplôme qui défendentvalablement son honneur et sa réputation.
Tableau 1 : identification de l'école
Id section | Dénom. | R.G | Assoc. | Niveau | option | Adresse |
3001.178 | I.KIKESA | C.C | Diocèse de Kenge | Secondaire cycle long | Â LATIN-PHILO ÂPEDA GEN. Â BIO-CHIMIE ÂMATH À PHIS. Â COMM & GEST | I.KIKESA B.P : 213 BDD 4,AV. DEL'EGLISE Q/ SALONGO C/BASOKO GPS: LAT:: S-3-18'-44» LON.:E-17-22'-3' ALT. : 306 m PREC. : 15,5 m BANDUNDU |
Tableau 2 : Structure de l'école
N° ORDRE | NOMBRE DES | 7e | 8e | 3e | 4e | 5e | 6e | Total |
CLASSES | ||||||||
01 | AUTORISEES | 05 | 03 | 05 | 05 | 05 | 05 | 28 |
02 | ORGANISEES | 05 | 03 | 04 | 03 | 03 | 03 | 21 |
Arrêtés d'agrément :
 N° NIMEDUC/CABMIN/001/1024/2017 du04/08/2017.
Source : Direction des études de KIKESA
[16]
II.3 OBJECTIFS DE L'INSTITUT KIKESA
a. Objectif principal
L'institut KIKESA a pour objectif d'amener la jeunessecongolaise à une meilleure éducation en assurant un bonenseignement.
b. Objectif spécifique
Le but poursuivi par l'institut KIKESA est de former le cadrede demain que le monde a besoin.
II.4. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE
L'administration scolaire s'effectuegénéralement selon la structure suivante :
? La préfecture ;
? La direction des études ; ?Le secrétariat ;
? Les enseignants ;
? Direction de discipline, ?Direction de l'internat,
II.5. ORGANIGRAMME GENERAL
SECRETARIAT
DIRECTEUR D'INTERNAT
DIRECTEUR DES ETUDES
DIRECTEUR DE DISCIPLINE
OUVRIER | Figure 5 Organigramme général | ENSEIGNANTS |
[17]
II.6. JOB DESCRIPTION
1. La préfecture
En sa qualité d'encadrement : la préfecture estle centre d'un groupe formé de professeurs, d'enseignants, animateurspédagogiques d'une communauté appelée Ecole.
Il écoute attentivement ce qui vient desélèves et des parents et expose objectivement à sescollaborateurs les problèmes qui se posent. Il rappelle les directivesde l'Etat mais sollicite les avis sur leurs applications. Il conforme lesopinions, pèse les arguments puis décide suivantl'intérêt des élèves.
? ROLE :
Le rôle se situe à quatre niveaux dont :
? Le rôle d'éducation : c'estÀ à À dire veiller à ce que l'enseignantdispensé tende à développer chez l'enfant les valeursintellectuelles, éthiques et spirituelles ;
? Le rôle pédagogique : c'estÀ à À dire doit consentir un effort un effort toutspécial pour un encadrement efficace et adéquat de tout lepersonnel sous ses ordres. Ça implique aussi, une étude et unesurveillance permanente des documents, de fréquences visites desclasses, établir des grille horaire, insister sur les réunionspédagogiques régulières.
? Le rôle d'enseignant : c'estÀ à À dire connaitre les valeurs professionnelles de sesprofesseurs. Il se contente à prendre les notes tant positives quenégatives qui seront reportées sur le formulaire.
? Le rôle d'administrateur ; c'estÀ à À dire une attention soutenue à la tenue desdocuments des autorités du ministère principalement enmatière d'admission, d'effectifs des élèves, de passage etde redoublement de classe, de délivrance des titres scolaires,d'établissem*nt d'horaires de cours, de relations avec les parents parle biais de leur comité, des finances scolaires, etc...
2. La Direction des études
Le Directeur des études est chargé de lapédagogie de l'école. C'est un service purement technique del'école en ce sens que c'est elle qui donne l'impulsionpédagogique à toutes les activités de l'école.
Le directeur des études travail toujours encollaboration avec le préfet, de qu'il reçoit lesinstructions.
[18]
Il s'occupe notamment la :
? L'élaboration des attributions descouts qu'il soumet à l'approbation
du préfet ;
? L'élaboration de l'horaire provisoiredes cours ;
? L'élaboration de la mise en place dupersonnel enseignant et ouvrier
qu'il soumet également à l'approbation dupréfet ;
? La remise des documents pédagogiqueà tous les enseignants ;
? Du contrôle des présences desélèves et des enseignants ;
? Veiller à exécution desprogrammes des cours.
3. La Direction de discipline
Le directeur de discipline assure l'ordre àl'école. Dans cette optique, il veillera à ce que les punitionsne perturbent pas l'ordre à l'école.
La direction de discipline est sous l'autoritéimmédiate du chef d'établissem*nt scolaire. Il a en outre commeoffices :
1) Faire exécuter les ordres du chefd'établissem*nt ;
2) Règle les petites palabres entre élèves;
3) Revoir les parents des élèves pour lesquestions disciplinaires ;
4) Distribuer et reprendre les manuels et fournitures scolaires;
5) Faire le trait d'union entre les élèves et lechef d'établissem*nt ;
6) Faire observer la discipline.
4. Le Secrétaire
La secrétaire a pour tâches :
? Contrôler les présences desenseignants pendant les heures des
cours ;
? L'élaboration du registre de laprésence des enseignants à l'école ;
? Etablir les duplicata des anciensélèves ;
? Saisie et impression des lettres ;
? Gérer les correspondances.
5. Les enseignants
Dispense les enseignements aux élèves, pendant lesheures de cours et suivant l'horaire établi.
Ils sont sous la direction directe du directeur desétudes.
[19]
SECTION III : ETUDE D'OPPORTUNITE III.1 DEFINITION ETBUT
? Définition
Elle nous permet à définir le fonctionnement dusystème existant et le critiquer afin de trouver ces défauts quibloquent le bon fonctionnement du système en place et les pointsaffirmatifs qui contribuent ainsi à son fonctionnement.
? Buts
Cette étude poursuit les buts suivants :
? Comprendre le système d'information existant del'entreprise et y prendre connaissance en détail dont celle souhaiteaméliorer son fonctionnement ;
? Détecter les failles pouvant représenter unréel handicap pour le développement de cette entreprise ;
? Proposer des solutions idéales, concrètes etréalisables, en se référant aux objectifs de l'entrepriseen fixant comme plan de travail les domaines dont l'entreprise améliorele rendement.
III.2 DESCRIPTION DES ACTIVITES DU SERVICE SPECIFIQUECe service réalise les opérations suivantes :
? Etablissem*nt de la fiche de cotation ;
? Transcription de cote ;
? Calcul de cotes des élèves ;? Publication de résultat.
III.3 ORGANIGRAMME SPECIFIQUE
Préfet
Directeur des Etudes
Enseignants
Titulaires
Figure 6 L'organigramme du service de publication derésultats
Source: Direction des etudes
[20]
III.4 ETUDE DES POSTES DE TRAVAIL
Cette étude permet d'analyser les différentspostes qui interagissent au sein de ce service ou département quis'occupe de gestion de publication de résultat.
Voici les différents postes qui s'occupent de lapublication de
résultat :
· Préfecture ;
· Direction des études ;
· Enseignant.
III.5 ETUDE DES DOCUMENTS
Cette étude nous permet de répertorier tous lesdocuments utilisés pour la publication de résultats, Ainsi,l'existence de chaque document doit être justifiée car il estsouvent constaté que les documents existent mais ne sont pasutilisés.
III.5.1 RECENsem*nT DES DOCUMENTS
Notre investigation à l'institut KIKESA, nous a permisde
recenser les documents suivants :
· Fiche de cotation ;
· Palmarès de chaque classe ;
· Palmarès général de l'école;
· Bulletin ;
· Billet de vacance.
III.5.2 DESCRIPTION DES DOCUMENTS
a) ROLE DU DOCUMENT ? Fiche de cotation
C'est un document que le titulaire doit se servir pour lecalcul des points de chaque élève.
? Palmarès de classe
C'est un document qui nous sert à connaitre l'effectif,la participation des élèves, le nombre de réussite, deséchecs et de calculer la moyenne de classe.
? Palmarès général del'école
C'est un document qui nous sert de calculer la moyenne detoute l'école et connaitre le nombre des lauréats.
[21]
? Bulletin
Celui-ci nous permet connaitre les cotes de chaqueélèves périodes par période ainsi trimestre partrimestre.
? Billet de vacance
Il permet aux élevés de connaitre le montant etles conditions pour la rentrée scolaire prochaine ainsi que lePourcentage.
b) MODELE DES DOCUMENTS 1. Fiche decotation
P1 P2 EX TOT P3 P4 EX TO TOT T GEN | 2è me SESSION | ||
MAXIMA | % Sé/P rof | ||
N° | NOM ET POST À | ||
01 | |||
02 | |||
03 | |||
04 | |||
05 | |||
06 | |||
07 | |||
08 | |||
09 | |||
10 | |||
11 | |||
12 | |||
13 |
DIOCESE DE KENGE
INST.KIKESA
BANDUNDU-VILLE
FICHE DE COTATION PERIODIQUE
ANNEE SCOLAIRE : 2022-2023 CLASSE : BRANCHE : PROFESSUER : TITULAIRE :
Figure 7 Fiche de cotation
Source : Direction des Etudes
[22]
2. PALMARES DE CLASSE
N° 01 02 03 | NOM ET POST À NOM | % | OBSERVATION | ||||||
N° | NOM ET POST À NOM | % | OBSERVATION | ||||||
01 | |||||||||
02 | |||||||||
03 | |||||||||
N° | NOM ET POST À NOM | % | Examen de 2ème SESSION | ||||||
01 | |||||||||
02 | |||||||||
03 |
CLASSE : INSCRITS PARCIPANTS : REUSSITE : ECHEC :ABANDONS :
A. PASSENT EN PREMIER SESSION :
C. DOUBLE LA CLASSE
B. PASSENT APRES LA DEUXIEME SESSION :
Titulaire : Qualification :
Figure 8 Palmarès de classe
Source : Direction des Etudes
[23]
3 PALMARES GENERAL
DIOCESE DE KENGE INST. KIKESA BANDUNDU-VILLE
N° 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 | CLASSE | MOYENNE EN % | |||||
7e | 65% | ||||||
8e | 55% | ||||||
3e PEDA | 70% | ||||||
4e PEDA | 54% | ||||||
5e PEDA | 74% | ||||||
6e PEDA | 58% | ||||||
3e MATH-PHYS | 61% | ||||||
4e MATH-PHYS | 62% | ||||||
5e MATH-PHYS | 73% | ||||||
6e MATH-PHYS | 58% | ||||||
3e LAT PHILO | 59% | ||||||
4e LAT PHILO | 51% | ||||||
5e LAT PHILO | 70% | ||||||
6e LAT PHILO | 58% | ||||||
3è BIO-CHIMIE | 58% | ||||||
4 è BIO-CHIMIE | 52% | ||||||
5 è BIO-CHIMIE | 56% | ||||||
6 è BIO-CHIMIE | 66% | ||||||
N° 1 2 3 | NOMS & POST-NOMS | S | CLASSE | % | |||
ABOMBELA | F | 5e MATH-PHYS | 79% | ||||
ENGO BANGABOLIA | F | 5e PEDA | 74% | ||||
TOMOLOMBO NSENSE | F | 8e MATH-PHYS | 73% | ||||
LEZEME | M | 3e PEDA | 70% |
I. PALMARES DES RESULTATS DE L'ECOLE
MOYENNE : 66,60%
II. LES LAUREATS
Figure 9 Palmarès de l'école
Source : Direction des Etudes
Source : direction des études
[24]
4. Billet de vacance
Figure 10 Billet de vacance
Source : Direction des Etudes
[25]
5. BULLETIN
Figure 11 Bulletin
[26]
III.6. ETUDE DES RESSOURCES DE TRAITEMENT DESINFORMATIONS Cette étude nous a permis d'examiner lesdifférents moyens de traitement des informations.
a) RESSOURCES HUMAINES
Tableau 1 : Ressources Humaines
APPLICATION : Déploiement d'un systèmeorienté web pour la publication de résultat. DATE DU JOURS : Le 20 Avril 2023 ANALYSTE Prog. : ONJI KITOKO Aristote FICHE RESSOURCE HUMAINE | |||||
N° | NOM SERVICE | QUALIFICATION | NOMBRES | ||
|
|
|
|
| |
|
|
|
| ||
|
|
|
| ||
Titulaires | L1, G3, D6 | 1 |
b) RESSOURCES MATERIELLES
Tableau 2 : Ressources Matérielles
APP APPLICATION : Déploiement d'un systèmeorienté web pour la publication de résultat. DATE DU JOURS : Le 20 Avril 2023 ANALYSTE Prog. : ONJI KITOKO Aristote FICHE RESSOURCES MATERIELLES | |||||
N° | MATERIELS | MARQUE | Nbre | ANNEE D'ACQUISITION | ETAT |
1. | Chaise | Fauteuils | 3 | 2013 | Bon |
2. | Table | Bois | 4 | 2016 | Bon |
3. | Agrafeuse | Olympia | 4 | 2013 | Bon |
4. | Etagère | Bois | 5 | 2012 | Bon |
5. | Papier | - | - | - | Bon |
6. | Calculettes | 1 | 2015 | Bon | |
7. | Farde | Chemise | - | - | Bon |
8. | Stylo | - | - | - | Bon |
9. | Ordinateur | HP | 3 | 2019 | Bon |
10. | Imprimante | LaserJet | 2 | 2019 | Bon |
(19) REIX R., Analyse en Informatique de gestion,Ed. BORDAS, Paris, p.34
[27]
III.7 ETUDE DE CIRCUIT DES INFORMATIONS
III.7.1 NARRATION
Apres la passation des examens de fin d'année, Ledirecteur des études établit les fiches de cotation et donneà chaque titulaire de cours, celui-ci procède par latranscription des côtes et ensuite, ils les remettent au directeur desétudes. Ce dernier rassemble toutes les fiches venant de chaquetitulaires des cours, vérifie et transmet lesdites fiches àchaque titulaire de classe. Celui-ci à son tour calcule les côteset le transcrit dans les bulletins, et il établit les palmarèsdes résultats après les envoie au directeur des étudespour vérification. Après ce scenario, le directeur desétudes transmet les bulletins, les fiches de cotation desélèves ainsi que les palmarès au préfet, celui-cisigne, insère le sceau de l'école, les renvoient au directeur desétudes et fait la préparation de la proclamation. Le directeurdes études établit et signe les billets de vacances contenant lescôtes des élèves, puis, il le remet aux titulaires desclasses pour distribuer aux élèves.
III.7.2. DIAGRAMME DE FLUX
Le diagramme de flux permet de modéliser les fluxd'informations existant entre acteurs d'un domaine d'étude. En d'autrestermes, Un diagramme de flux représente graphiquement le cheminement desdonnées à travers les processus d'un système.(19)
Il nous permet d'avoir :
? Une vue d'ensemble de la circulation del'information entre les acteurs qui participent à la réalisationd'une activité définie.
? D'analyser les échangesd'informations au sein du système d'information d'une organisation(entreprise, administration ou association) et avec d'autres systèmesd'information.
a) FORMALISME
Le diagramme de flux se présente sur base deséléments suivants :
Figure 12 Formalisme
[28]
b) ELABORATION DU DIAGRAMME DE FLUX
Figure 13 Elaboration du diagramme de Flux
III.7.3 MATRICE DE FLUX
Tableau : matrice de flux
Flux | Acteur émetteur | Acteur récepteur | Tâches effectuées |
1 | Directeur des études | Titulaire de cours | Etablissem*nt des fiches de cotation et envoi au titulaire decours. |
2 | Titulaire de cours | Directeur des études | Transcription de cote et remise de fiche de cotation. |
3 | Directeur des études | Titulaire de classe | Rassemblement de toutes les fiches venant de chaque titulaires des cours, vérifie et transmet lesdites fiches à |
4 | Titulaire de classe | Directeur des études | calcule les côtes et le transcrit les cotes dans lesbulletins, et il établit les palmarès des résultatsaprès les envoie la fiche chez le directeur des études. |
5 | Directeur des études | Préfet | Vérification et transmission auprès dupréfet. |
6 | Préfet | Directeur des études | Signature, insertion du sceau de l'école,préparation de la proclamation et revoient au directeur desétudes. |
7 | Directeur des études | Titulaire de classe | Réception, établissem*nt et signature desbillets de vacance et le remet aux titulaires des classes. |
8 | Titulaire de classe | Elève | Réception du billet de vacance. |
[29]
SECTION IV : DIAGNOSTIC DE L'EXISTANT ET SCENARIOS DEMISE EN OEUVRE.
IV.1 CRITIQUE DE L'EXISTANT
A ce stade, étant un analyste nous devonsdégager le point fort et la partie péjorative du systèmeexistant afin de trouver une meilleure solution à ce problème.
IV.1.1. AU NIVEAU DE L'ORGANISATION ET DE GESTION
D'une manière générale, la publication derésultat à l'institut KIKESA se passe bien et l'écoleregorge un nombre important des élèves et bien organisémême si le traitement des informations reste manuel et nerépondent pas aux besoins des élèves.
IV.1.2. CRITIQUE DE CIRCULATION DESINFORMATIONS
Les informations au sein de l'institut KIKESA se fait d'unemanière traditionnelle ou archaïque ce qui implique des anomaliestels que : la lenteur de traitement des informations lié à lapublication des résultats, perte de temps ainsi que lesdonnées.
IV.1.4 AU NIVEAU DES RESSOURCES MATERIELLES
L'institut KIKESA dispose de matérielles pour letraitement des informations, or ce dernier n'est pas informatique afind'assurer un bon travail et efficace en son sein.
IV.2. SCENARIOS DE MISE EN OEUVRE
Après avoir constaté les difficultés quipersistent au système existant, nous serons obligés de proposerune solution tant manuelle qu'informatisé.
IV.2.1 SCENARIO DE REORGANISATION DU SYSTEME EXISTANT
En guise de solution, nous ne pouvons pas rejeter carmalgré l'innovation de l'informatique est toujours nécessaire quel'être humain soit présent. C'est pour cela nous proposons auxautorités de l'institut KIKESA ce qui suit :
? D'ajouter d'autres agents pour larapidité au sein de ce service ;
? Mettre en place les moyens efficaces pourle traitement facile des informations ;
? Augmenter la prime des agents.
[30]
a) Avantages
? Matériels des travaux moinscoûteux ;
? En cas de coupured'électricité, le travail continuera sans difficulté
b) Contraintes
? Perte de temps dans la recherche desdonnées ;
? Mauvaise conservation des données;
? Lenteur dans la restitution desrésultats ;
? Travail moins performant ;
? Insécurité desdonnées.
IV.2.2 SCENARIO D'INFORMATISATION
Nous proposons aux autorités de cetétablissem*nt d'informatiser le système en place pour un bontraitement qui sera efficace et sécurisé ainsi que lafiabilité de la publication de résultat en ligne.
a) Avantages
? Traitement rapide et automatique desdonnées ;
? Fiabilité des résultats ;
? Bonne conservation des données ;
? Faciliter de mettre à jour lesdonnées.
b) contraintes
? L'acquisition des matériels esttrès coûteuse ;
? Le coût élevé del'entretien des matériels ;
? La consommation élevée del'énergie électrique et du carburant en cas de coupured'énergie pour alimenter le groupe électrogène.
IV.2.3 CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION
En regardant les avantages que la solution informatique nousoffre, nous préconisons la solution informatique pour safiabilité.
[31]
Nous sommes arrivés à la fin de notre premierchapitre qui porte sur l'approche théorique, il étaitconcentré aux concepts informatiques, leurs définitions, nousavons aussi parlé de quelque notion de la programmation Web et laprésentation complète l'institut KIKESA.
Ce chapitre nous a également aidé àconnaitre les fonctionnements, l'organisation de l'institut KIKESA pour lapublication de résultat, son Historique, sa situation géographie.L'étape suivante nous allons aborder notre deuxième chapitre quis'est intitulé : « conception du nouveau systèmed'information ».
[32]
La conception du nouveau système se fait étapepar étape pour mettre en place un système d'informatisation, ellepermet de mettre en place un modèle sur lequel on va s'appuyer.
SECTION I : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATIONORGANISE.
I.1.ETAPE CONCEPTUELLE DE DONNEES I.1.1. DEFINITION ET BUT
Le modèle conceptuel des données (MCD) est unereprésentation statique de donnée qui a pour but d'écrirede façon formelle les données qui seront utilisées par lesystème d'information. Il s'agit donc d'une représentation desdonnées, facilement compréhensible, permettant de décrirele système d'information à l'aide d'entités.(20)
I.1.2. FORMALISME ET CONCEPTS DE BASE
Le formalisme adopté par la méthode (merise)pour la description de données utilisée par le systèmed'information est basé sur l'entité À association,l'entité représente l'objet et association représente larelation.
Une entité ou objet est représenté par unrectangle reprenant le nom de l'objet et toutes ses propriétésparmi lesquelles nous allons trouver l'identifiant qui est obligatoiresouligner ou précédé du symbole #.
Une relation est représentée par un cercle ovaleavec le nom de la relation ainsi que ses propriétés.
Cardinalité elle précise le nombre de fois uneentité ou objet participe dans une relation. Elle est composée dedeux parties (borne) maximum et minimum.
20 Encyclopédie informatique comment ça marche.
[33]
I.I.2.1. FORMALISME
Cardinalité
Objet A
Objet B
identifiant propriété 1
identifiant propriété 1
-
-
x,y
-
Relation
-
x,y
-
-
Propriété N
Propriété N
Cardinalité
Figure 14 Formalisme étape conceptuelle dedonnée
minimale
I.I.2.2. CONCEPTS DE BASE
Les concepts de base utilisés dans lamodélisation conceptuelle de données sont :
 Objet : est une entité concrèteou abstraite ayant une existence autonome et présentant un certainintérêt dans un domaine de gestion donné. Autrement ditc'est un regroupement des propriétés. (21)
 Association ou relation : est un liensémantique entre plusieurs entités. Elle est souventexprimée sous forme de verbe à l'infinitif ou d'une locutionverbale et cela, dans un cercle ovale.
 Propriété (attribut ourubrique) : est une donnée élémentaire qui décritun objet ou une entité.
 Identifiant : c'est unepropriété permettant de distinguer une entité parmi tantd'autres et sans ambigüité.
 Cardinalités : Elle permet decaractériser le lien qui existe entre une entité et la relationà laquelle elle est reliée. La cardinalité d'un objet parrapport à une relation s'exprime par deux nombres appeléscardinalité minimale et cardinalité maximale.
(21) CHRIST, J., Introduction de la base dedonnées, 6ème Ed. Thomson, Paris, 1998, P.11
[34]
? Contrainte de cardinalité : exprime lenombre de fois minimum et maximum que l'objet participe dans une relation ;
? Contrainte d'Intégrité Fonctionnelle(CIF) : est une contrainte de cardinalité du type (0,1) ou(1,1) d'une part et de (0, n) ou (1, n) d'autre part.
I.1.3. REGLES DE GESTION
En ce qui concerne la gestion de publication desrésultats des élèves, les règles de gestionsuivantes ont été prises en compte :
Règle 1 :
- Un titulaire publie un ou plusieurs résultats;
- Un résultat est publié par un et un seultitulaire.
Règle 2 :
- Un élève consulte un ou plusieursrésultat;
- Un résultat est consulté par un et un seulélève ;
Règle 3 :
- Un élève étudie dans une et une seulclasse ;
- Dans une classe étudie un ou plusieursélèves.
Règle 4 :
- Un titulaire appartient à une ou plusieurs classe;
- Dans une classe appartient un et un seul titulaire.
Règle 5 :
- Un résultat concerne une et une seule classe;
- Une classe est concernée par un ou plusieursrésultats.
Règle 6 :
- Une classe se trouve dans une et une seule option;
- Dans une option se trouve une ou plusieurs classes.
[35]
I.1.4. DICTIONNAIRE DE DONNEES
Tableau 3: Dictionnaire de données
N° | PROPRIETE | CODE PROPRIETE | TYPE | TAILLE | ||
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Libelle_classe | Lib_classe | C | 35 | |||
10 | Libelle_option | Lib_option | C | 35 | ||
11 | Mat_titulaire | Mat_ titulaire | N | 10 | ||
12 | Matriculr_Eleve | Matr_elev | N | 10 | ||
13 | Nom élève | Nom_elev | C | 25 | ||
14 | Nom_ titulaire | Nom_ titulaire | C | 25 | ||
15 | Place | Place | C | 10 | ||
16 | PostNom_élève | Postnom_elev | C | 25 | ||
17 | Post_ titulaire | Postnom_ titulaire | C | 25 | ||
18 | Sexe_élève | Sexe_elev | C | 10 | ||
19 | Sexe_ titulaire | Sexe_ titulaire | C | 10 | ||
20 | Pourcentage | Pourcentage | C | 10 | ||
21 | Tel_titeur | Tel_titul | C | 15 |
I.1.5. RECENsem*nT ET DESCRIPTION DES OBJETS
Un objet est une entité concrète ou abstraite ayantune existence autonome et présentant un certain intérêtdans un domaine de gestion donnée. (22)
I.1 .5.1 . RECENsem*nT DES OBJETS
En ce qui concerne notre étude, nous avons recenséles objets ci-
dessous :
? Elève ;
? Classe ;
? Titulaire;
? Résultat ;
? Option.
(22) Roche et Majorony, la Méthode Merise,2e édition, Ex-Raller, Paris, 1998
[36]
I.1 .5.2. DESCRIPTION DES OBJETS
Tableau 5: Description des objets
N° | OBJETS | PROPRIETE | CODE PROPRIETE | TYPE | TAILLE | ID | ||
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RESULTAT | Id_résultat | Id_ result | N | 10 | # | |||
Pourcentage | Pourcentage | C | 10 | |||||
Décision | Decision | C | 10 | |||||
Place | Place | C | 10 | |||||
Application | Application | C | 10 |
I.1 .6. RECENsem*nT ET DESCRIPTION DES RELATIONS I.1.6.1.RECENsem*nT DES RELATIONS
En ce qui concerne notre étude, nous avons recenséles relations ci-dessous :
 Publier ;
 Consulter ; ÂEtudier ;
 Appartenir ; ÂConcerner ;  Trouver.
[37]
I.1 .6.2. DESCRIPTION DES RELATIONS
Tableau 6: Description des relations.
N° | relation | objets associes | Dim. | Propriétés | type | Taille | ||
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Trouver | Classe - Option | Binaire | - | - | - |
I.1 .7. LES CONTRAINTES
Une contrainte est un ensemble des règlesspécifiant les valeurs permises pour certaines données,éventuellement en fonction des autres données permettantd'assurer une cohérence de la base de données. (23) Ilen existe plusieurs type de contrainte que nous pouvons énumérerci-dessous :
? Contrainte d'intégrité fonctionnelle: Elle sert à minimiser le nombre de caractères àstocker dans les mémoires de masse ; Elle permet aussi la rechercherapide des informations dans la base de données.
? Contrainte de cardinalité : Elless'appliquent pour les cardinalités du type : 0, n et 1, n ou 1, n et 1,n.
? Les contraintes d'intégritéréférentielle : Elles imposent que la valeur d'uneclé étrangère d'une table, existe comme valeur declé primaire dans la table à laquelle elle faitréférence.
I.1 .7.1 . CONTRAINTE DE CARDINALITE
Caractérise le lien qui existe entre une entitéet la relation à laquelle elle appartient. D'une manièregénérale les différentes cardinalités sont :
0,1 : l'occurrence participe à la relation zéro ouune fois ;
1,1 : l'occurrence participe à la relation une et uneseule fois ; 0,n : l'occurrence participe à la relation zéro ouplusieurs fois ; 1,n : l'occurrence participe à la relation une ouplusieurs fois.
(23) KITOKO, Notes de Cours de Méthoded'Analyse Informatique II, G3 info,ISC/KIN, 2021, p.57 inédit
[38]
I.1 .7.2. CONTRAINTE D'INTEGRITE FONCTIONNELLE
On parle de contrainte d'intégrité fonctionnelle(CIF) c'est lorsqu'il y'a dépendance d'une entité (objet) parrapport à l'autre et est souvent représentée en paires.(1,1)-(1,n) ou (0,1)-(0,n).
I.1.7.3. TABLEAU DESCRIPTIF DES CONTRAINTES
Tableau 7: Descriptif des contraintes.
N° | RELATIONS | OBJETS ASSOCIES | CARDINALITE | CIF |
1 | Publier | Titulaire - Resultat | (1,n) - (1,1) | Oui |
2 | Consulter | Eleve - Resultat | (1,n) - (1,1) | Oui |
3 | Etudier | Eleve - Classe | (1,1) - (1, n) | Oui |
4 | Appartenir | Titulaire - Classe | (1,n) - (1, 1) | Non |
5 | Concerner | Resultat - Classe | (1, 1) À (1,n) | Oui |
6 | Trouver | Classe - Option | (1, 1) À (1,n) | Oui |
[- 39 -]
I.1.8. PRESENTATION DU MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD)
Figure 15 Présentation du MCD
[- 40 -]
I.2. ETAPE CONCEPTUELLE DE TRAITEMENTS
I.2.1. DEFINITION ET BUT
Le modèle conceptuel de traitement est un modèlepermettant de représenter de façon schématiquel'activité d'un système d'information sans faireréférence à des choix organisationnels ou des moyensd'exécutions. C'est à dire qu'il permet de définirsimplement ce qui doit être fait, mais il ne dit pas quand comment etoù. (24)
I.2.2. FORMALISME ET CONCEPTS DE BASE DU MCT
Le Formalisme E-O-R est utilisé par la méthodeMERISE et signifie « Evénement, Opération, Résultatet Synchronisation ».
1i Evénement : Un événement estdéfini comme un fait qui déclenche une action (opération).Il est symbolisé par un cercle ovale.
1i L'opération : La réponseà l'arrivé d'un événement est le
déclenchement d'un ensemble de traitement appeléopération.
1i Résultat : C'est le produit de l'exécutiond'une opération. En d'autres termes, le résultat est laréponse générée par une opération.
1i Synchronisation : c'est une condition booléennetraduisant les règles de gestion qui doivent vérifier lesévénements pour déclencher les actions. (25)
1i Règle d'émission : On parled'une règle d'émission C'est une condition, traduisant lesrègles de gestion, qui permet d'exprimer des conditions de sortie desrésultats.
(24)www. CommentCaMarche.netconsulter le 30 juin 2023 à 15h54.
(25) GERARD P., Modélisation de Systèmesd'Information. Villetaneuse, Paris, 2012, P 33.
[41]
1.2.3. RECENsem*nT DES OPERATIONS
Avec l'étude menée dans ce travail, nous avonsrecensé les opérations ci-après :
 Etablissem*nt fiche de cotation ;
 Transmission et transcription cote ;
 Remise fiche de cotation ;
 Centralisation ;
 Etablissem*nt palmarès ;
 Publication de résultat.
I.2.4. PRESENTATION DU MODELE CONCEPTUEL DETRAITEMENTS
(MCT)
Figure 16 Présentation Modèle Conceptuel deTraitement.
[42]
I.3. ETAPE ORGANISATIONNELLE
Le niveau organisationnel implique la prise dedécisions concernant l'organisation des ressources humaines etmatérielles, notamment en définissant les sites et les postes detravail (26).
Le modèle organisationnel des données est unereprésentation des informations qui seront stockéesinformatiquement, en utilisant le formalisme entité-relation. Il tientcompte des volumes, de la répartition et de l'accessibilité desdonnées, sans encore considérer les contraintes de structure, destockage et de performance liées à la technologie de stockage quisera utilisée.
Sur cette étude comme la méthode MERISEsépare les données ainsi que le traitement dans ce cas nousaurons (27) :
 Modèle organisationnel desdonnées (MOD) ;  Modèle organisationneldes traitements (MOT).
I.3.1. ETAPE ORGANISATIONNELLE DE DONNEES
La modélisation organisationnelle des donnéesconsiste à inclure les éléments liés àl'utilisation des ressources de stockage.
 La réparation dans l'organisation;  La modalité d'accès aux données;
 La réparation d'exécutionde traitement en tenant compte de l'organisation.
Toutes ces préoccupations nous conduisent àdéfinir Deux niveaux de modélisation organisationnelle dedonnées.
? Le MOD Global, directement dérivé dumodèle conceptuel des données,
? Le MOD valide, spécifique à une unitéorganisationnelle.
Le MOD valide est dérivé du modèle globalen prenant en compte des choix d'organisation, en particulier derépartition
I.3.2. SCENARIOS D'ORGANISATION
Sur ce point nous pouvons citer quelques scripts demanipulation de donnée qui sont beaucoup plus utilisé :
(26) ACSIOME, Modélisation dans la conception dessystèmes d'information, éd. Masson, Paris, 1989, P. 35.
(27) Idem.
[43]
? Create cette requête permet de créer un type dedonnée.
? INSERT : c'est une requête pour insérer ou ajouterun enregistrement dans la base de donnée;
? SELECT : cette requête permet de sélectionner unenregistrement ;
? UPDATE : permet de modifier un enregistrement ; ? DELETE :Permet de supprimer un enregistrement.
I.3.3. PASSAGE DU MCD AU MOD
Il s'agit ici de choisir, à partir des donnéesformalisées sur le modèle conceptuel des données, cellesqui devront être effectivement mémorisées informatiquementdans le système d'information informatisé. Le modèleorganisationnel des données ainsi obtenu est de niveau global et neprend pas en compte les choix d'utilisation reparties. Les règles depassage du modèle conceptuel des données au modèleorganisationnel des données sont les suivantes :
1. Supprimer des éléments (entités,relations, propriétés) qui ne seront pas mémorisésinformatiquement ;
2. Modifier certains éléments (entités,relations, propriétés,
cardinalités, etc.) compte tenudu choix de mémorisation informatisé ;3. Ajouter de nouvelles informations :
? Pour permettre de faire le lien entre lesdonnées mémorisées et les données restéesmanuelles ; par exemple la référence des fiches, des dossiers,etc. ;
? Pour mémoriser des états dusystème d'information, consécutifs au déroulement destraitements dans le MOT.
En ce qui concerne notre domaine d'application, tous lesobjets et relation de MCD seront mémorisables sur des supportsinformatiques. D'où le MCD vaut le MOD global.
[44]
I.3.4. PRESENTATION DU MOD GLOBAL
Figure 17 Présentation MOD GLOBAL.
I.3.5. EVALUATION DU VOLUME DU MOD GLOBAL
Il s'agit ici de définir les caractéristiques etles limites des propriétés, ainsi que les contraintes sur lesvaleurs et le nombre d'occurrences des entités et des relations. Cettequantification est statique et permet principalement d'estimer initialement levolume de données à stocker. Le volume du MOD se faitprincipalement au niveau du MOD global.
[45]
I.3.5.1. QUANTIFICATION DES CARDINALITESMULTIPLES
Tableau 4: Quantification des cardinalités multiples
N° | Nom del'objets | Rubrique | Type | Taille | Total | ||
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| ||||
RESULTAT | Id_résultat | N | 10 | 60 | |||
Pourcentage | AN | 10 | |||||
Décision | AN | 10 | |||||
Place | AN | 10 | |||||
Application | AN | 10 | |||||
Conduite | AN | 10 |
A ce niveau, le travail du concepteur consiste àquantifier les cardinalités maximales (n) afin de calculer lacardinalité moyenne (CM) et le taux de participation (P). Pour yarriver, les formules sont les suivantes :
P " CM= ((min+2 x Mo + max)/4)*P
 Max : la cardinalité maximale Mo : la valeur modale  Cm : lacardinalité moyenne  P : Taux de participation Min : valeur minimale
[46]
La Cardinalité Moyenne d'un objet contenant lacardinalité (1,1) est toujours égale à 1. Tandis que laCardinalité Moyenne d'un objet ayant pour cardinalité (0,1) estégale au taux de Participation.
I.3.5.2. TABLEAU DES CARDINALITES ET TAUX DE PARTICIPATION
Tableau 5: Tableau des cardinalités et taux departicipation
RELATION | ENTITES | Min | Mo | Max | P | CM |
Publier | Titulaire | 1 | 125 | 150 | 0,83 | 83.20 |
Résultat | 1 | - | - | - | 1 | |
Consulter | Elève | 1 | 70 | 500 | 0,14 | 22,43 |
Résultat | 1 | - | - | - | 1 | |
Etudier | Elève | 1 | - | - | - | 1 |
Classe | 1 | 45 | 90 | 0.9 | 34 | |
Appartenir | Titulaire | 1 | 125 | 150 | 0,83 | 83.20 |
Classe | 1 | - | - | - | 1 | |
Concerner | Résultat | 1 | - | - | - | 1 |
Classe | 1 | 45 | 60 | 0.9 | 34 | |
Trouver | Classe | 1 | - | - | - | 1 |
Option | 1 | 45 | 55 | 0.82 | 32.92 |
I.3.5.3. CALCUL DU VOLUME DU MOD GLOBAL
Le calcul de volume du MOD GLOBAL nous aide à prendredes décisions sur les types de supports de stockages et àdéterminer les données qui seront stockées dans notre basede données. Le volume obtenu sera multiplié par un coefficientmultiplicateur qui varie entre 2 et 3. Dans notre cas nous avons choisi unjuste milieu (2,5).
Calcul du volume des objets : Volume=Effectif * taille Tableau 6:Calcul du volume des objets
Objet- Relation | Taille | Effectif | Volume |
ELEVE | 70 | 5010 | 350 700 |
CLASSE | 45 | 450 | 20 250 |
TITULAIRE | 125 | 1250 | 156 250 |
OPTION | 45 | 450 | 20 250 |
RESULTAT | 60 | 600 | 36 000 |
TOTAL | 583 450 |
Volume Total du MOD global = 583 450 Octets x 2,5= 1 458 625Octets
= 1424,43 Mo
[47]
? Répartition organisationnelle des données : MODlocaux
La répartition organisationnelle des données estnécessaire lorsque le système d'information doit êtreutilisé sur plusieurs sites. Cependant, dans notre étude, toutesles opérations du système d'information se déroulent surun seul site. Par conséquent, notre modèle organisationnel dedonnée est considéré comme local, mais nous allons tout demême ajouter des mesures de sécurité pour protégerles données.
? L'accessibilité et la prise en compte de lasécurité du MOD
L'accessibilité des données d'un MOD locals'exprime par les
actions élémentaires que peuvent effectuer sur cesous-ensemble de
données les traitements réalisés dans lesite organisationnel. Ces différents
types d'accès, en
Lecture ou consultation (L),
Modification ou écriture (M),
Création (C),
Suppression (S)
Sont précisés sur le MOD.
Pour ce qui est de la sécurité desdonnées définit des restrictions d'accès auxdonnées mémorisées pour certaines catégoriesd'utilisateurs. Ces restrictions peuvent être un type limitéd'actions (L, M, C, S) soit aux entités, relations oupropriétés du MOD global ou local, soit à unesous-population des occurrences d'entités ou des relations. Lasécurité d'accès comprend la limitation d'actions àcertaines personnes et intègre aussi les aspects deconfidentialité. La sécurité d'accès passe par ladéfinition de catégories ou de profils d'utilisateurs.
Pour chaque profil, on précise les éventuellesrestrictions d'accès envisagées.
[48]
I.3.5.4.SCHEMA DE SECURITE DES DONNEES DE LA PROCEDUREFONCTIONNELLE
L
C S
L
M
C S
L M C S |
L
C S
L
M C
Figure 18 Schéma de sécurité desdonnées de la procédure fonctionnelle
[49]
I.4. ETAPE ORGANISATIONNELLE DES TRAITEMENTS
Lors de l'étape organisationnelle du traitement, nousdivisions les opérations en procédures fonctionnelles, qi sontune séquence de traitements déclenchés par unévènement spécifique. Pour faciliter cela, nous associonsles procédures fonctionnelles à une heure de début et unede fin dans un tableau. Cela nous permet de visualiser la séquence desopérations et de planifier efficacement leur exécution.
Le MOT permet de représenter l'ensemble des traitementsen prenant en compte l'organisation de l'entreprise. Celle-ci seramatérialisée par les postes de travail. Chaque poste de travailcorrespond à une unité d'action élémentairedotée des moyens d'exécution : moyen en personnel et moyen detraitement automatique selon les cas.
Il complète la description conceptuelle des traitementsen intégrant tout ce qui est d'ordre organisationnel dans le domaineétudié.
Le Modèle Organisationnel des Traitementsprécise ou répond aux 3 questions suivantes :
? QUI ? : consiste à définirl'acteur qui fera le traitement :
o L'homme dans le cas d'une tâche manuelle,
o La machine dans le cas d'une tâche automatique,
o L'homme et la machine dans le cas d'une tâcheconversationnelle ou interactive (Semi-automatique).
? QUAND ? : consiste à définirla périodicité du déroulement des tâches qui peutêtre : journalière, hebdomadaire, décadaire,
mensuelle, trimestrielle, semestrielle, annuelle,apériodique, etc.
? OU ? : permet de donner l'endroit oùse déroulera le travail. En effet, un poste de travail constituel'unité d'action élémentaire de l'entreprise qui estidentifiée soit par la fonction qu'elle remplit, soit par les moyensqu'elle emploie
[50]
I.4.1. PASSAGE DU MCT AU MOT
Ce passage est ténu en respectant les conditionssuivantes :
1) ajouter les réponses aux questions QUI, QUAND et OU ?;
2) ajouter pour chaque traitement :
o Le délai de réponse : temps Immédiat (I)ou temps Différé (D) ;
o Le mode de fonctionnement : unitaire (U), par lot ou batch (L);
3) Transformer le vocabulaire : les opérationsdeviennent des tâches et les processus des procéduresfonctionnelles. Plusieurs tâches exécutées dans unmême poste de travail deviennent une phase.
I.4.2. PRESENTATION DES PROCEDURES FONCTIONNELLESTableau 7: Présentation des procèdures fonctionnelles
PF | DEROU LEMEN T | TACHES/PHAS ES | CARATERES ORGANISATIO NNEL DE LA TACHE | POSTE DE TRAVAIL | ||
LIEU | RESPON SABLE | RESSOU RCES | ||||
PF1 | 7h à 15h | Etablissem*nt fiche de cotation | Directeur des | Directeur études(D.E) | Directeur | Fiche |
PF2 | 7h à 15h | Transmission et transcription | Titulaire de | Titulaire de | Titulaire | Fiche |
PF3 | 7h à 15h | Remise fiche de cote | Titulaire de | Titulaire de | Titulaire | Fiche |
PF4 | 7h à 15h | Centralisation | Titulaire de | Titulaire de | Titulaire | Fiche |
PF5 | 7h à 15h | Etablissem*nt palmarès | Titulaire de | Titulaire de | Titulaire | Palmarès |
PF6 | 7h à 15h | Publication de résultat | Titulaire de | Titulaire de | Titulaire de classe | Résultat. |
[51]
I.4.3. MODELISATION ORGANISATIONNELLE DES TRAITEMENTS Tableau 8:Presentation des procedures fonctionnelles
DEROU L. | TACHES/PHASE | NATU RE | POSTE DE TRAVAI L | ||||||||
7h 15h | TM-U-I TR-U-I TM-U-I TM-U-D TR-U-D TR-U-D | Directeu r des Titulaire de cours Directeu r des Titulaire de classe Directeu r des Titulaire de classe | |||||||||
(28) PANET G.et LE TOUCHER R. Merise2 :Modèle et techniques merise avancée, éditionorganisation, Paris 2010, P 101.
[52]
SECTION II : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATIONINFORMATISE.
A ce stade nous allons répondre à la question« Comment » ce qui veut dire comment allons concevoir lesystème d'information informatisé répondant auxspécifications définies précédemment.
II.1. ETAPE LOGIQUE DE DONNEES
Le modèle logique des données consiste àdécrire la structure de données utilisée sans faireréférence à un langage de programmation. Il s'agit donc depréciser le type de données utilisées lors destraitements. Ainsi, le modèle logique dépende du type de basedonnée utilisé.
II.1 .1. DEFINITION ET BUT
A ce niveau il est question de produire le modèlelogique de données qui va décrire la structure permanente dedonnées dans un formalisme compatible avec l'implémentationphysique dans un SGBD. (28)
II.1 .2. PASSAGE DU MOD AU MLD
1) Règle pour les objets
? Les entités ou objets deviennent des tables ;
? Les propriétés des entités deviennentdes attributs ;
? Les identifiants des objets deviennent des clésprimaires des
tables.
2) Règles pour les relations
? 1er Cas : relation du type père-fils: contrainte d'intégrité fonctionnelle (CIF).
Ce cas intervient, dans le MCD, lorsque nous retrouvons lescouples (0,1) ou (1,1), d'une part, et (0,n) ou (1,n) d'autre part. Il peut yavoir les combinaisons suivantes :
(1,1) et (1, n) (0, n) et (1, 1) (0,1) et (1, n) (0, n) et (0,1)
[53]
Dans ce cas, la relation disparait mais sa sémantiquedemeure, car l'objet qui a la cardinalité (0,n) ou (1,n) estconsidère comme père cède son identifiant à l'objetfils (c.à.d. : l'objet ayant cardinalité (0,1) ou (1,1)) . Etantdonnées que le fils possède une clé primaire, cellequ'elle hérite de son père est une cléétrangère parce qu'elle est la clé primaire dans sa tablerespective. Si la relation était porteuse des propriétés,elles migrent vers la table fils.
? 2ème cas : les relations du typeautre que père et fils : contrainte d'intégritémultiple (CIM). Ce cas intervient lorsqu'on a d'une part le couple (o,n) ou(1,n), et d'autre part (o,n) ou (1,n). C'est-à-dire les combinaisonsci-après :
(o,n) et (o,n) (1,n) et (1,n) (o,n) et (1,n)
Dans ce cas, la relation devient une table de lien qui auracomme clé primaire la concaténation des identifiants des objetsqu'elle reliait. Et si la relation était porteuse despropriétés, celles-ci deviennent des attributs de la nouvelletable.
3ème cas : les relations du type monstre oufantôme : (1,1 À 1,1) : Dans ce cas, le pèrecède son identifiant au fils et vice versa, ensuite, la relationdisparait.
[54]
II.1 .3. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES BRUT(MLDB)
Figure 19 Présentation du modèle logique dedonnées brut (MLDB)
(29) MVIBUDULU, JA , KONKFIE,LD.,Technique de base de données, étude et cas,2ème Ed. CRIGED, Kinshasa, 2012.
[55]
II.1.4. NORMALISATION DU MLD BRUT
La normalisation est un processus qui consiste àéliminer les dernières redondances et les valeurs nulles dans unetable. En d'autre mot, la normalisation consiste à limiter le risqued'incohérences potentielles.
Il existe cinq formes dites formes normales. Toutefois enpratique l'on se limite uniquement aux trois premières formes normalesconstituées des cas particuliers de la deuxième ettroisième forme normale. En plus, pour arriver à latroisième forme normale, l'on est sûr d'avoir minimisé lesrisques de redondance.(29)
Les formes normales
1ère forme normale (1FN)
Une table est en première forme normale si elle a uneclé primaire et que tous ses attributs non clés sontélémentaires, c'est à dire non décomposables et nonrépétitifs.
2ème forme normale (2FN)
Une table est en deuxième forme normale, si elle estdéjà à la 1FN et que ses attributs non clésdépendent pleinement ou totalement de la clé primaire.
3ème forme normale (3 FN)
Une table est en 3ème troisième formenormale lorsqu'elle est déjà en deuxième forme normale etque ses attributs non clés dépendent directement de la cléprimaire sans transition. Garder dans la table initiale les attributsdépendant directement de la clé primaire. Regrouper dans uneautre table, les attributs dépendants transitivement de la cléprimaire. L'attribut de transition reste dupliqué dans la relationinitiale, et devient la clé primaire de la nouvelle relation.
NB : En regardant tout ce qui précède, nousconstatons que la table Titulaire n'est pas à la 3èmeforme normale, car, l'attribut Adresse et grade dans la table Titulaire ne sontpas élémentaires, ils sont décomposable. Mais les restesdes tables, respectent parfaitement les 3 formes normales.
[56]
II.1 .5. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES VALIDE(MLDV)
Figure 20 Présentation du modèle logique dedonnées valide (MLDV)
[57]
II.1.6. SCHEMA RELATIONNEL ASSOCIE AU MLD VALIDE
# Script MySQL.
# Table: OPTION
CREATE TABLE OPTION(
Code_option Int NOT NULL ,
lib_option Varchar (10) NOT NULL
,CONSTRAINT OPTION_PK PRIMARY KEY (Code_option)
)ENGINE=InnoDB;
# Table: ADRESSE
CREATE TABLE ADRESSE(
Code_adresse Int NOT NULL ,
avenue Varchar (35) NOT NULL ,
numero Varchar (10) NOT NULL ,
quartier Varchar (35) NOT NULL ,
commune Varchar (35) NOT NULL
,CONSTRAINT ADRESSE_PK PRIMARY KEY(Code_adresse)
)ENGINE=InnoDB;
# Table: GRADE
CREATE TABLE GRADE(
code_grade Int NOT NULL ,
lib_grade Varchar (10) NOT NULL
,CONSTRAINT GRADE_PK PRIMARY KEY (code_grade)
)ENGINE=InnoDB;
# Table: TITULAIRE
CREATE TABLE TITULAIRE(
Mat_titulaire Int NOT NULL ,
Nom_titulaire Varchar (35) NOT NULL ,
post_titulaire Varchar (35) NOT NULL ,
Sexe Varchar (10) NOT NULL ,
Adresse_tit Varchar (35) NOT NULL,
Grade_tit Varchar (35) NOT NULL ,
Code_adresse Int NOT NULL ,
code_grade Int NOT NULL
,CONSTRAINT TITULAIRE_PK PRIMARY KEY (Mat_titulaire)
,CONSTRAINT TITULAIRE_ADRESSE_FK FOREIGN KEY (Code_adresse)
REFERENCES ADRESSE(Code_adresse)
,CONSTRAINT TITULAIRE_GRADE0_FK FOREIGN KEY (code_grade)
REFERENCES GRADE(code_grade)
)ENGINE=InnoDB;
# Table: CLASSE
CREATE TABLE CLASSE(
Id_classe Int NOT NULL ,
[58]
Lib_classe Varchar (35) NOT NULL ,
Mat_titulaire Int NOT NULL ,
Code_option Int NOT NULL
,CONSTRAINT CLASSE_PK PRIMARY KEY (Id_classe)
,CONSTRAINT CLASSE_TITULAIRE_FK FOREIGN KEY (Mat_titulaire)
REFERENCES TITULAIRE(Mat_titulaire)
,CONSTRAINT CLASSE_OPTION0_FK FOREIGN KEY (Code_option)
REFERENCES OPTION(Code_option)
)ENGINE=InnoDB;
# Table: ELEVE
CREATE TABLE ELEVE(
Mat_elev Int NOT NULL ,
Nom_elev Varchar (25) NOT NULL ,
Postnom_elev Varchar (25) NOT NULL ,
Sexe_elev Varchar (10) NOT NULL ,
Id_classe Int NOT NULL
,CONSTRAINT ELEVE_PK PRIMARY KEY (Mat_elev)
,CONSTRAINT ELEVE_CLASSE_FK FOREIGN KEY (Id_classe)
REFERENCES CLASSE(Id_classe)
)ENGINE=InnoDB;
# Table: RESULTAT
CREATE TABLE RESULTAT(
Id_resultat Int NOT NULL ,
Pourcentage Varchar (10) NOT NULL ,
decision Varchar (10) NOT NULL ,
place Varchar (10) NOT NULL ,
Application Varchar (10) NOTNULL ,
Conduite Varchar (10) NOT NULL ,
Mat_titulaire Int NOT NULL ,
Id_classe Int NOT NULL ,
Mat_elev Int NOT NULL
,CONSTRAINT RESULTAT_PK PRIMARY KEY (Id_resultat)
,CONSTRAINT RESULTAT_TITULAIRE_FK FOREIGN KEY (Mat_titulaire)
REFERENCES TITULAIRE(Mat_titulaire)
,CONSTRAINT RESULTAT_CLASSE0_FK FOREIGN KEY (Id_classe)
REFERENCES CLASSE(Id_classe)
,CONSTRAINT RESULTAT_ELEVE1_FK FOREIGN KEY (Mat_elev)
REFERENCES ELEVE(Mat_elev)
)ENGINE=InnoDB;
[59]
II.1.7. ESTIMATION DU VOLUME DE LA BASE DE DONNEESII.1.7.1. Calcul du volume des tables
On calcule le volume d'une table en multipliant l'effectif decette table par sa taille. D'où : N*Taille
Tableau 9: Calcul du volume des tables
TABLE | TAILLES | EFFECTIFS | VOLUME | ||
ELEVE | 70 | 5010 | 350 700 | ||
CLASSE | 45 | 450 | 20 250 | ||
TITULAIRE | 125 | 1250 | 156 250 | ||
OPTION | 45 | 450 | 20 250 | ||
RESULTAT | 60 | 600 | 36 000 | ||
GRADE | 45 | 450 | 20 250 | ||
ADRESSE | 125 | 1250 | 156 250 | ||
Total de volume des tables = | 759 950 |
[60]
II.2. ETAPE LOGIQUE DES TRAITEMENTS
La modélisation logique de traitements est un processusqui consiste à créer des représentations abstraites destraitements informatiques dans un domaine donné. Cela comprend lacréation de modèles et de schémas qui décrivent endétail les différentes étapes nécessaires àla construction d'une solution technique répondant auxspécificités et aux besoins du modèle organisationnel destraitements. En d'autres termes, il s'agit de concevoir des plans logiques pourmettre en oeuvre des processus informatiques qui répondent aux besoinset aux exigences du domaine traité.
II.2.1. CONCEPTION DU MLT
Le formalisme de la conception du MLT utilise les concepts
suivants | : |
? Site organisationnel : c'est le lieuoù s'effectue un traitement autonome utilisant une ou plusieurs machineslogiques. ? Machine logique : Une machine logique estdéfinie comme un ensemble de ressources informatiques (matérielet logiciel) capables d'exécuter des traitements informatiques defaçon autonome. ? Unité logique de traitement (ULT): c'est une partie d'une tâche
logique qui est exécutée d'une manièreautonome.
? Procédure logique : c'est unenchainement logique de plusieurs unités logiques de traitementeffectué par une machine logique.
II.2.2. DECOMPOSITION DES TACHES DU MOT
Le Modèle Logique des Traitements (MLT) est unereprésentation plus détaillée des traitementsinformatiques par rapport au Modèle Conceptuel de Données (MCD).Il permet d'ajouter des informations spécifiques qui ne sont pasfournies dans le MCD, telles que la durée, les ressources, le lieu,etc.
Le MLT répond aux questions suivantes : Qui?,Où?, Comment?, Quand?,
Le MLT se concentre sur les opérations clésnécessaires pour répondre aux besoins du domaine. Il peut inclureune ou plusieurs opérations en fonction des exigencesspécifiques. Le MLT fournit des détails sur lesdifférentes étapes, les acteurs impliqués, les ressourcesnécessaires, le calendrier et les lieux d'exécution destraitements informatiques.
[61]
En résumé, le MLT étend les informationsfournies par le MCD en ajoutant des détails spécifiques sur lesdifférentes dimensions des traitements informatiques, afin de mieux lesmodéliser et les planifier.
II.2.3. DESCRIPTION DES ULT II.2.3.1. UTL O1 : Paged'accueil
ULT 01
Affiche des images de carrousel et historique del'institut
Démarrage du site de l'institut KIKESA
Page d'accueil
Accueil
Communiqué
ULT 04
ULT 02 ULT 03
publication
Admin
II.2.3.2. UTL O2 : COMMUNIQUE
Cette partie permet aux internautes/élevés deconnaitre toutes les nouvelles de l'école et les nombres desélèves par chaque option.
ULT 02
option
Affiche des informations ayant trait avec l'école
ULT 02
ou
Communiqué
Quitter
ULT 02
Figure 22 (Ult 02) Communiqué
Figure 21 (Ult 01) Page d'accueil
[62]
II.2.3.3 : (UTL O3) Publication
Cette partie permet aux élèves et aux parents deconsulter le résultat à partir du site.
Figure 23 (Ult 03) Publication
II.2.3.4 : (UTL O4) Admin
ULT 03
Consultation de résultat valider
ULT 03
oui
Publication
Quitter
ULT 03
C'est la partie du gestionnaire (celui qui gère le site,il a la possibilité d'ajouter, modifier, supprimer.
ULT 04
Gestionnaire dusite
Publier
Modifier
supprimer
ULT 04
oui
Admin
Quitter
ULT 04
Figure 24 (Ult 04) Admin
[63]
II.3. ETAPE PHYSIQUE DE DONNES
II.3.1. DEFINITION ET BUT
Le but modèle physique des données (MPD) est letransfert de la base de données dans le système de gestion debase de données (SGBD) choisi pour la réalisation dusystème d'information.
II.3.2. REGLES DE PASSAGE DU MLDV AU MPD
La mise en place du MLD nécessite trois principalesrègles (En
d'autre terme, il s'agit de règles de passage de MLD versMPD) :
? Les tables deviennent des Fichiers
? La clé primaire devient la clé d'accès auFichier
? Les attributs deviennent des Champs.
II.3.3. PRESENTATION DU MODELE PHYSIQUE DE DONNEES(MPD)
1. FICHIER CLASSE
2.
1. FICHIER ELEVE
FICHIER ADRESSE
[64]
4. FICHIER GRADE
5. OPTION
6. RESULTAT
7. TITULAIRE
Figure 25 presentation de MPD
II.4. ETAPE PHYSIQUE DES TRAITEMENTS
Dans cette phase, nous sommes obligés deprésenter une solution technique pour construire l'application. Lemodèle physique de traitements se reconstruit à partir demodèle logique de traitements.
[- 65 -]
II.4.1. PRESENTATION DU MPT
Page d'accueil
Retour
Page d'accueil
Option organisée
Objectif
Historique de
l'institut kikesa
Communiqué
Retour
Nombre des élèves par option
Publication
Retour
Page Admin
Admin
Retour
Login
Figure 26 Presentation du mpt
Nous avons terminé ce chapitre consacré àla conception du nouveau système d'information. Il nous a permis dedéfinir de manière exhaustive le futur système àmettre en place. Maintenant que nous avons pleinement abordé la phase deconception, il est temps de passer au chapitre suivant : réalisation dusystème d'information.
[- 66 -]
TROISIEME CHAPITRE : REALISATION DU SYSTEME INTRODUCTION
L'objectif de ce chapitre est de mettre en oeuvre notrenouveau du système d'information en prenant en compte la technologieinformatique de la solution retenue, afin de trouvé solution auxproblèmes évoqués ci-haut. (30)
La construction du nouveau système d'information estune tâche complexe. Sa réalisation prend beaucoup de temps pourmodéliser, concevoir, programmer et tester le système. Ellenécessite une analyse et une conception des données quiconstituent le point de passage de toute application mettant en oeuvre une basede données.
SECTION I: DEVELOPPEMENT DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE.
I.1. PRISE EN COMPTE DES RESSOURCES INFORMATIQUES
A. RESSOURCES MATERIELLES
Nous avons choisi un ordinateur pour développer cetteapplication dont ces caractéristiques sont les suivant :
Tableau 10: Ressources matérielles
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B. RESSOURCES LOGICIELLES
Voici les logiciels utilisés pour la mise en oeuvre decette application :
Tableau 11: Ressources Logicielles
Logiciels | Description |
Système d'exploitation | Windows 10 |
Wamp server | Serveur Apache (Mysql) |
Vs code | - |
(30) www.developpez.net,Consulté le 29 juillet 2023 à 16 h 00'
[- 67 -]
I.2. CHOIX DE LA PLATE-FORME DE DEVELOPPEMENT ET DUSGBD
Pour le développement de notre système, nousavons utilisé différents langages et technologies ainsi qu'unsystème de gestion de base de données. Les langages se regroupenten trois catégories : les langages de programmation, le langage dedescription des pages, le langage de stylisation des pages et les SGBD nousavons choisi MySQL. En dehors des langages, nous avons égalementutilisé des Framework et des utilitaires.
Concernant les langages de programmation, nous avonsutilisé JavaScript pour le front-end et PHP pour le back-end.
Pour la description de nos pages web, nous avons choisi HTML,CSS a été utilisé pour la stylisation, tandis que ducôté SGBD nous avons utilisé MySQL.
Nous avons également fait appel à desframeworks tels que Bootstrap. De plus, l'éditeur de texte Visual StudioCode ainsi que WampServer et Chrome ont été utilisés.
I.3. BREVE PRESENTATION DU LANGAGE DE PROGRAMMATIONCHOISI 1.3.1 LANGAGE
? PHP
PHP: Hypertext Preprocessor, plusconnu sous son sigle PHP (sigleautoréférentiel), est un langage de programmation libre,principalement utilisé pour produire des pages Web dynamiques via unserveur web, mais pouvant également fonctionner comme n'importe quellangage interprété de façon locale. PHP est un langageimpératif orienté objet (31).
PHP a permis de créer un grand nombre de sites webcélèbres, comme et Wikipédia. Il estconsidéré comme une des bases de la création de sites webdits dynamiques mais également des applications web.
31https://fr.wikipedia.org/wiki/PHPconsulté le 15/08/2023 23h40
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? JavaScript
JavaScript est un langage de programmation de scriptsprincipalement employé dans les pages web interactives et à cetitre est
une partie essentielle des applications web. Avecles
langages HTML et CSS, JavaScript est au coeur des langagesutilisés par les développeurs web. Une grande majorité dessites web l'utilisent et la majorité des navigateurs web disposent d'unmoteur JavaScript pour l'interpréter (32).
1.3.2 LANGAGE DESCRIPTIVE ET STYLE ?HTML
Le HyperText Markup Language,généralement
abrégé HTML ou, dans sadernière version, HTML5, est le langage de balisageconçu pour représenter les pages web.
Ce langage permet d'écrire de l'hypertexte (d'oùson nom), de structurer sémantiquement une page web, de mettre en formedu contenu, de créer des formulaires de saisie ou encore d'inclure
des ressources multimédias dont des images, desvidéos, et
des programmes informatiques. L'HTML offreégalement la possibilité de créer des documentsinteropérables avec des équipements très variés etconformément aux exigences de l'accessibilité du web.
? CSS
Les feuilles de style en cascade,généralement appelées CSS del'anglais Cascading Style Sheets, forment un langageinformatique qui
décrit la présentation des documents HTML et XML(33).
Les standards définissant CSS sont publiéspar le World Wide Web Consortium (W3C). Introduit au milieu des années1990, CSS devient couramment utilisé dans la conception de sites web etbien pris en charge par les navigateurs web dans les années 2000.
32https://fr.wikipedia.org/wiki/JavaScriptconsulté le 15/08/2023 23h45
33 https://fr.wikipedia.org/wiki/Feuilles_de_style_en_cascadeconsulté le 16/08/2023 00h03
[- 69 -]
1.3.3 Framework
? Bootstrap
Bootstrap est une collection d'outils utilesà la création du design (graphisme, animation et interactionsavec la page dans le navigateur, etc.) de sites et d'applications web. C'est unensemble qui contient des codes HTML et CSS, des formulaires, boutons, outilsde navigation et autres éléments interactifs, ainsi que desextensions JavaScript en option. C'est l'un des projets les plus populaires surla plate-forme de gestion de développement Git Hub.
1.3.4 UTILITAIRE
? VISUAL STUDIO CODE
Visual Studio Code est un éditeur decode extensible développé par Microsoft pour Windows, Linux etMacOs.
Les fonctionnalités incluent la prise en charge dudébogage, la mise en évidence de la syntaxe, la complétionintelligente du code (IntelliSense.), les snippets, la refactorisation du codeet Git intégré. Les utilisateurs peuvent modifier lethème, les raccourcis clavier, les préférences etinstaller des extensions qui ajoutent des fonctionnalitéssupplémentaires.
Le code source de Visual Studio Code provient du projetlogiciel libre et open source VS Code de Microsoft publié sous lalicence MIT permissive, mais les binaires compilés constituent unfreeware, c'est-à-dire un logiciel gratuit pour toute utilisation maispropriétaire.
[- 70 -]
? WAMPSERVER
WampServer (anciennementWAMP5) est une plateforme de développement Web de typeWAMP, permettant de faire fonctionner localement (sans avoir à seconnecter à un serveur externe) des scripts PHP.
WampServer n'est pas en soi un logiciel, mais un environnementcomprenant trois serveurs (Apache, MySQL et MariaDB), un interpréteur descript (PHP), ainsi que phpMyAdmin pour l'administration Web des basesMySQL.
Il dispose d'une interface d'administration permettant degérer et d'administrer ses serveurs au travers d'un tray icon(icône près de l'horloge de Windows).
La grande nouveauté de WampServer 3 réside dansla possibilité d'y installer et d'utiliser n'importe quelle version dePHP, Apache, MySQL ou MariaDB en un clic.
Ainsi, chaque développeur peut reproduirefidèlement son serveur de production sur sa machine locale.
1.3.4 SGBD
? MySQL
MySQL (prononcer [maj.?s.ky.?l]) est un système degestion de bases de données relationnelles (SGBDR). Il estdistribué sous une double licence GPL et propriétaire. Il faitpartie des logiciels de gestion de base de données les plusutilisés au monde2, autant par le grand public (applicationsweb principalement) que par des professionnels, en concurrence avec Oracle,PostgreSQL et Microsoft SQL Server.
Figure 29 Présentation de publication
[- 71 -]
SECTION II. PRESENTATION ET DEVELOPPEMENT DU LOGICIELII.1. CREATION DES INTERFACES
II.1.1 PAGE D'ACCEUIL
Figure 27 Page d'acceuil
II.1.2 PAGE COMMUNIQUE
Figure 28 présentation page communiqué
II.1.3 PUBLICATION
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II.1.4 AFFICHAGE BILLET DE VACANCE
Figure 30 Presentation de billet de vacance
II.1.5 IMPRESSION DE BILLE DE VACANCE
Figure 31 Presentation Billet de vacance imprimé
[- 73 -]
II.2. ECRITURE DES CODES <?php
$bdd = newPDO('mysql:host=localhost;dbname=kikesa;charset=utf8;',
'root', ");
if (isset($_POST['btn'])) {
$mateleve = $_ POST['mateleve'];
$req = $bdd->prepare('SELECT * FROM resul WHERE mateleve=?');
$req->execute(array($mateleve));
if ($req->rowCount() > 0) {
$contenu=$req->fetch();
?>
<h1 class="text-center">BILLET DES VACANCES INSTITUTKIKESA</h1> <div style="margin-top:10px; " class=" container"><br><br>
<div class="container h4 text-center alert alert-infofade-in"> <table>
<tr>
<th >INSTITUT KIKESA <br> BP 213<br>
BANDUNDU</th>
<h3>BILLET DES VACANCES</h3>
</tr>
<tr>
<td class="">
<p class="text-center">Chers parent de l'Eleves...<strong><?php echo $contenu['nom']. " " .$contenu['postnom'];?></strong> de la <strong><?php echo $contenu['clas']?></strong> eme annee votre Fils (fille) ... <strong><?php echo$contenu['decision']?></strong> la classe pour avoir Obtenu<strong><?php echo $contenu['pointobtenu']?> % </strong> despoints Le nouveau enseignement étant en baisse dans notre systèmeéducatif, nous vous demandons de prendre conscience de cette situation,car chaque acteur du système a sa part deresponsabilité.</p>
Nous avons terminé le chapitre consacré àla réalisation du système, après avoir bien abordéla conception au chapitre 2. Nous devons également mettre en place unsystème d'information informatisé, comme mentionnéprécédemment. Nous tenons également à signaler quec'est le dernier chapitre de notre recherche.
[- 74 -]
CONCLUSION GENERALE
Nous avons terminé notre travail sur la mise en placed'un système informatisé orienté web pour la gestion de lapublication des résultats à l'Institut KIKESA. En nous basant surles problèmes rencontrés lors de la gestion de cette publication,nous avons décidé de créer une plateforme web quipermettra aux élèves de consulter leurs résultats enligne, sans contraintes de lieu ou de temps.
Notre démarche méthodologique pour informatiserce système s'est appuyée sur les principes de la méthodeMERISE. Grâce à cette méthode, nous avons pu comprendre lefonctionnement du système existant et concevoir et mettre en oeuvre unnouveau système informatisé. Bien que nous reconnaissions quenotre travail n'est pas parfait du point de vue analytique et conceptuel, noussommes convaincus que la solution proposée répondra en partie auxproblèmes liés à la publication des résultatsscolaires.
Nous sommes fiers de notre travail et espérons quel'Institut KIKESA prendra en considération notre réalisation.Nous espérons ainsi pouvoir contribuer modestement àl'amélioration de la gestion de l'institution dans ce domaine.
[- 75 -]
A. Ouvrage
1. Albert Bruno, Les méthodes de sciencessociales, Ed. Mont Chrétien, Paris, 1972, p.207.
ROSNAY, J., Le système de gestion informatique,éd. Eyrolles, Paris, 2003.
GARDARIN O., et GARDARIN, G., Le client-serveur,édition Eyrolles, Paris, 1996, P.18
BERTRAND P., Architecture des réseaux,Ed.Ellipses,Paris, 2020, P.17 MIRANDA S. et RUOLSA, Client-Serveur. Moteur SQL,Ed.Middleware, Paris, 2011, p.115.
Dimbu op cit 15p.
REIX R., Analyse en Informatique de gestion, Ed. BORDAS,Paris, p.34 GARDARIN O. et GEORGES, « Client À Serveur», Edition Eyrolles, Paris 2010, P. 18
GERARD P., Modélisation de Systèmesd'Information. Villetaneuse, Paris, 2012, P 33.
PANET G.et LE TOUCHER R. Merise2 : Modèle ettechniques merise avancée, édition organisation, Paris 2010,P 101.
MVIBUDULU, JA , KONKFIE,LD., Technique de base dedonnées, étude et cas, 2ème Ed. CRIGED,Kinshasa, 2012.
Roche et Majorony, la MéthodeMerise, 2e édition, Ex-Raller, Paris, 1998KITOKO, Notes de Cours de Méthode d'Analyse Informatique II, G3info, ISC/KIN, 2021, p.57 inédit
B. Note de cours
Prof Yawudi MAYINZAMBIE note de cours Initiation à larecherche scientifique G2
CT IYA BONZOLO B. note de cours MAI 1, ISC BDD édition2021-2022 P 4.
DIMBU P. note de cours technique de base donnée, ISC BDDédition 2022-2023 P 4.
MALALA ATANDELE T., Note de cours de langage HTML et CSS, G2INFO, ISC/BDD, 2021-2022, P.6.
[- 76 -]
WEBOGRAPHIE
https://fr.wikipedia.org/wiki/PHPconsulté le 15/08/2023 23h40https://fr.wikipedia.org/wiki/JavaScriptconsulté le 15/08/2023 23h45 https://fr.wikipedia.org/wiki/Feuilles_de_style_en_cascadeconsulté le 16/08/2023 00h03
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bootstrap_(framework)https://fr.wikipedia.org/wiki/Visual_Studiohttps://fr.wikipedia.org/wiki/WampServerhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Google_ChromeWww. CommentCaMarche.net
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TABLE DE MATIERE
Epigraphe i
DEDICACE ii
REMERCIEMENT iii
Liste de figure iv
Liste de tableaux v
Sigles et Abréviations vi
0. INTRODUCTION GENERALE - 1 -
I. MISE EN CONTEXTE - 1 -
2. PROBLEMATIQUE - 2 -
3. HYPOTHESE - 3 -
4. CHOIX ET INTERET DU SUJET - 4 -
A. Choix - 4 -
B. Intérêt du sujet - 4 -
5. DELIMITATION DU TRAVAIL - 4 -
5.1. DELIMITATION DANS L'ESPACE Erreur ! Signet nondéfini.
5.2. DELIMITATION DANS LE TEMPS Erreur ! Signet nondéfini.
6. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES - 5 -
6.1 Méthodes - 5 -
6.2 Techniques - 5 -
7. DIFFICULTES RENCONTREES - 6 -
8. CANEVAS DU TRAVAIL - 6 -
PREMIER CHAPITRE : APPROCHES THEORIQUES 7
SECTION I : DEBLAYAGE CONCEPTUEL 7
I.1 APPROCHES D'INFORMATISATION 7
I.1.1 SYSTEME 7
I.1.2 SYSTEME D'INFORMATION ET SYSTEME INFORMATIQUE 8
1.1.3 BASE DE DONNEES 8
I.1.4 SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES 9
I.1.5. ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR 9
I.1.6. INTERNET 12
1.2. CONCEPTS LIES AU SUJET 14
SECTION II : PRESENTATION DE L'ENTREPRISE 15
II.1 DENOMINATION ET SITUATION GEOGRAPHIQUE 15
A. Dénomination Erreur ! Signet non défini.
B. SITUATION GEOGRAPHIQUE 15
II.3 OBJECTIFS DE L'INSTITUT KIKESA 16
a. Objectif principal 16
b. Objectif spécifique 16
II.4. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE 16
II.5. ORGANIGRAMME GENERAL 16
II.6. JOB DESCRIPTION 17
SECTION III : ETUDE D'OPPORTUNITE Erreur ! Signet nondéfini.
III.1 DEFINITION ET BUT Erreur ! Signet non défini.
III.2 DESCRIPTION DES ACTIVITES DU SERVICE SPECIFIQUE Erreur !Signet non
défini.
III.3 ORGANIGRAMME SPECIFIQUE Erreur ! Signet nondéfini.
III.4 ETUDE DES POSTES DE TRAVAIL Erreur ! Signet nondéfini.
[- 78 -]
III.5 ETUDE DES DOCUMENTS Erreur ! Signet non défini.
III.5.1 RECENsem*nT DES DOCUMENTS Erreur ! Signet nondéfini.
III.5.2 DESCRIPTION DES DOCUMENTS Erreur ! Signet nondéfini.
a) ROLE DU DOCUMENT Erreur ! Signet non défini.
b) MODELE DES DOCUMENTS Erreur ! Signet non défini.
III.6 ETUDE DES RESSOURCES DE TRAITEMENT DES INFORMATIONS Erreur!
Signet non défini.
a) RESSOURCES HUMAINES Erreur ! Signet non défini.
b) RESSOURCES MATERIELLES Erreur ! Signet non défini.
III.7 ETUDE DE CIRCUIT DES INFORMATIONS Erreur ! Signet nondéfini.
III.7.1 NARRATION Erreur ! Signet non défini.
III.7.2. DIAGRAMME DE FLUX Erreur ! Signet non défini.
III.7.3 MATRICE DE FLUX Erreur ! Signet non défini.
SECTION IV : DIAGNOSTIC DE L'EXISTANT ET SCENARIOS DEMISE EN OEUVRE.
Erreur ! Signet non défini.
IV.1 CRITIQUE DE L'EXISTANT Erreur ! Signet non défini.
IV.1.1. AU NIVEAU DE L'ORGANISATION ET DE GESTION Erreur !Signet non
défini.
IV.1.2. CRITIQUE DE CIRCULATION DES INFORMATIONS Erreur ! Signetnon
défini.
IV.1.4 AU NIVEAU DES RESSOURCES MATERIELLES Erreur !Signet
non défini.
IV.2 SCENARIOS DE MISE EN OEUVRE Erreur ! Signet nondéfini.
IV.2.2 SCENARIO D'INFORMATISATION Erreur ! Signet nondéfini.
IV.2.3 CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION Erreur ! Signet nondéfini.
CONCLUSION PARTIELLE Erreur ! Signet non défini.
CHAPITRE II : CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME D'INFORMATION ...Erreur ! Signet non défini.
INTRODUCTION Erreur ! Signet non défini.
SECTION I : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION ORGANISE. Erreur!
Signet non défini.
I.1.ETAPE CONCEPTUELLE DE DONNEES Erreur ! Signet nondéfini.
I.1.1. DEFINITION ET BUT Erreur ! Signet non défini.
I.1.2. FORMALISME ET CONCEPTS DE BASE Erreur ! Signet nondéfini.
I.1.3. REGLES DE GESTION Erreur ! Signet non défini.
I.1.4. DICTIONNAIRE DE DONNEES Erreur ! Signet nondéfini.
I.1.5. RECENsem*nT ET DESCRIPTION DES OBJETS Erreur ! Signet nondéfini.
I.1 .6. RECENsem*nT ET DESCRIPTION DES RELATIONS Erreur ! Signetnon
défini.
I.1 .7. LES CONTRAINTES Erreur ! Signet non défini.
I.2. ETAPE CONCEPTUELLE DE TRAITEMENTS Erreur ! Signet nondéfini.
I.2.1. DEFINITION ET BUT Erreur ! Signet non défini.
I.2.2. FORMALISME ET CONCEPTS DE BASE DU MCT Erreur ! Signet nondéfini.
1.2.3. RECENsem*nT DES OPERATIONS Erreur ! Signet nondéfini.
I.2.4. PRESENTATION DU MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENTS (MCT)
Erreur ! Signet non défini.
I.3. ETAPE ORGANISATIONNELLE Erreur ! Signet nondéfini.
I.3.1. ETAPE ORGANISATIONNELLE DE DONNEES Erreur ! Signet nondéfini.
I.3.2. SCENARIOS D'ORGANISATION Erreur ! Signet nondéfini.
I.3.3. PASSAGE DU MCD AU MOD Erreur ! Signet nondéfini.
[- 79 -]
I.3.4. PRESENTATION DU MOD GLOBAL Erreur ! Signet nondéfini.
I.3.5. EVALUATION DU VOLUME DU MOD GLOBAL Erreur ! Signet nondéfini.
I.4. ETAPE ORGANISATIONNELLE DES TRAITEMENTS Erreur ! Signet nondéfini.
I.4.1. PASSAGE DU MCT AU MOT Erreur ! Signet nondéfini.
I.4.2. PRESENTATION DES PROCEDURES FONCTIONNELLES . Erreur !Signet non défini.
I.4.3. MODELISATION ORGANISATIONNELLE DES TRAITEMENTS Erreur !Signet non défini.
SECTION II : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE.Erreur ! Signet non défini.
II.1. ETAPE LOGIQUE DE DONNEES Erreur ! Signet nondéfini.
II.1 .1. DEFINITION ET BUT Erreur ! Signet non défini.
II.1 .2. PASSAGE DU MOD AU MLD Erreur ! Signet nondéfini.
II.1 .3. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES BRUT(MLDB)
Erreur ! Signet non défini.
II.1.4. NORMALISATION DU MLD BRUT Erreur ! Signet nondéfini.
II.1 .5. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES VALIDE(MLDV)
Erreur ! Signet non défini.
II.1.6. SCHEMA RELATIONNEL ASSOCIE AU MLD VALIDE Erreur ! Signetnon
défini.
II.1.7. ESTIMATION DU VOLUME DE LA BASE DE DONNEES Erreur !Signet non
défini.II.2. ETAPE LOGIQUE DES TRAITEMENTS Erreur ! Signet nondéfini.
II.2.1. CONCEPTION DU MLT Erreur ! Signet non défini.
II.2.2. DECOMPOSITION DES TACHES DU MOT Erreur ! Signet nondéfini.
II.2.3. DESCRIPTION DES ULT Erreur ! Signet non défini.
II.3. ETAPE PHYSIQUE DE DONNES Erreur ! Signet nondéfini.
II.3.1. DEFINITION ET BUT Erreur ! Signet non défini.
II.3.2. REGLES DE PASSAGE DU MLDV AU MPD Erreur ! Signet nondéfini.
II.3.3. PRESENTATION DU MODELE PHYSIQUE DE DONNEES (MPD) Erreur!
Signet non défini.
II.4. ETAPE PHYSIQUE DES TRAITEMENTS Erreur ! Signet nondéfini.
II.4.1. PRESENTATION DU MPT - 65 -
CONCLUSION PARTIELLE - 65 -
TROISIEME CHAPITRE : REALISATION DU SYSTEME - 66 -
INTRODUCTION - 66 -
SECTION I: DEVELOPPEMENT DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE -66
- | |
B. RESSOURCES LOGICIELLES | - 66 - |
I.2. CHOIX DE LA PLATE-FORME DE DEVELOPPEMENT ET DU SGBD | - 67 - |
I.3. BREVE PRESENTATION DU LANGAGE DE PROGRAMMATION CHOISI ... | - 67 - |
1.3.1 LANGAGE | - 67 - |
1.3.3 Framework | - 69 - |
1.3.4 UTILITAIRE | - 69 - |
1.3.4 SGBD | - 70 - |
SECTION II. PRESENTATION ET DEVELOPPEMENT DU LOGICIEL | - 71 - |
II.2. ECRITURE DES CODES | - 73 - |
CONCLUSION PARTIELLE | - 73 - |
CONCLUSION GENERALE | - 74 - |
BIBLIOGRAPHIE | - 75 - |
[- 80 -]